Bases neurologiques de l’olfaction et de ses déficits - 14/11/15
Résumé |
L’étude scientifique des sens chimiques que sont l’odorat et le goût a été longtemps négligée par rapport à celle de la vue et de l’ouïe. L’odorat a souvent été considéré comme un sens mineur, ramenant l’Homme à son animalité. Les organes récepteurs de la vue et de l’ouïe sont beaucoup plus facilement identifiables et accessibles à l’investigation anatomique que ne le sont la muqueuse olfactive et les papilles gustatives. L’existence et le caractère fonctionnel chez l’Homme d’une perception spécifique aux phéromones étaient encore récemment discutés. Depuis l’inhalation d’une molécule jusqu’à sa perception consciente ou inconsciente, les mécanismes sont extrêmement complexes et font intervenir de multiples protagonistes. Cette présentation passera en revue les connaissances actuelles sur les mécanismes de la perception olfactive, en se focalisant sur les étapes impliquant les molécules odorantes, puis, de manière plus générale, abordera les grandes étapes qui mènent de la molécule à l’odeur.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Molécule odorante, Récepteur olfactif, Neurone olfactif, Perception
Plan
Vol 30 - N° 8S
P. S31 - novembre 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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