La sieste normalise les variations d’interleukine-6 salivaire et de norépinephrine urinaire produites par la restriction de sommeil - 25/02/17
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Résumé |
Objectif |
Les modifications immunitaires et neuroendocriniennes liées à la restriction de sommeil sont impliquées dans les conséquences cardiovasculaires délétères associées au mauvais sommeil. Les effets de la sieste sur la vigilance sont bien admis mais l’impact de la sieste sur les réponses immunitaires et neuroendocriniennes sont mal connues.
Méthodes |
Un protocole randomisé croisé strictement contrôlé en laboratoire (catégorie de dormeur, environnement lumineux, prise calorique) chez des sujets suivis de manière continue par polysomnographie a été réalisé. Onze jeunes hommes en bonne santé ont été suivis après une nuit de 2heures de sommeil suivie d’une journée avec ou sans sieste de 30minutes le matin et l’après-midi, l’un et l’autre suivis d’une récupération de sommeil « ad libitum » débutant à 20heures.L’interleukine-6 salivaire et les catécholamines urinaires ont été mesurées tout au long de l’étude.
Résultats |
L’augmentation de la norépinephrine et les variations de l’interleukine-6 retrouvées après restriction de sommeil n’ont pas été présentes lorsque les sujets pouvaient faire la sieste.
Conclusion |
Nos données suggèrent que la sieste peut modifier la réponse immunitaire et dissoudre le stress liés à une restriction aigüe de sommeil.
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Vol 14 - N° 1
P. 41-42 - mars 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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