Le damage control pré-hospitalier n’est pas le scoop and run - 21/03/17
Pre-hospital damage control is not “scoop and run”
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder
Résumé |
À la suite des attentats terroristes de novembre 2015 à Paris, la notion de damage control s’est imposée pour la prise en charge de victimes civiles blessées par des armes de guerre. Ce concept privilégie une hémostase chirurgicale rapide et prévient le cercle vicieux hypotension–hypothermie–acidose. Assimiler cette rapidité au classique scoop and run anglo-saxon des années 1970 est une erreur qui peut être lourde de conséquences. Le damage control est en effet un parcours de soin qui nécessite dès la phase pré-hospitalière un triage, une régulation médicale et des soins spécialisés.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Summary |
Following the terrorist attacks of November 2015 in Paris, the concept of “damage control” imposed itself on the care of civilian victims wounded by military weapons. This concept favors rapid surgical hemostasis and prevents the vicious circle hypotension–hypothermia–acidosis. To assimilate this rapidity to the classical “scoop and run” of the 1970s is an error that can have serious consequences. The “damage control” is a care path that requires from the pre-hospital phase, a triage, a medical regulation and specialized care.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Attentat terroriste, Traumatisme pénétrant, SAMU, Damage control, Hémorragie, Scoop and run
Keywords : Terrorist attack, Penetrating trauma, SAMU, Damage control, Hemorrhage, Scoop and run
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à cette revue ?