Infections à « Penicillium » - 27/06/17
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Les infections confirmées à Penicillium sont rares. Il s'agit en premier lieu d'infections superficielles, principalement onychomycoses ou kératites, plus rarement d'infections invasives. Penicillium marneffei a été récemment reclassé dans le genre Talaromyces. Ce champignon dimorphique, dont la zone d'endémie est limitée à l'Asie du Sud-Est, est responsable d'infections opportunistes chez les patients infectés par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ou présentant une immunodépression sous-jacente portant principalement sur l'immunité cellulaire. Les atteintes pulmonaire, cutanée et la dissémination hématogène sont souvent au premier plan. Le diagnostic conventionnel reste essentiel mais la recherche de biomarqueurs (acide désoxyribonucléique [ADN], antigène) est une aide au diagnostic. L'amphotéricine B intraveineuse est la thérapeutique de première intention.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Pénicilliose, Penicillium, Talaromyces marneffei, Sida, Immunodépression, Infection opportuniste
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