Criteria for identifying the African origin of early Pleistocene mammalian fauna in Eurasia - 29/09/17
Critères pour l’identification de l’origine africaine d’une faune mammalienne du Pléistocène inférieur en Eurasie
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Abstract |
The “Migratory Wave Hypothesis” suggests that early Pleistocene Homo dispersed from Africa together with a suite of other large mammals. Support for this hypothesis has been found primarily at the sites of ‘Ubeidiya, (Israel) and Venta Micena (Spain) where a high number of African taxa have been identified. This paper presents a critical evaluation of how we can identify these taxa and suggest criteria for the identification of taxa of African origin present in Eurasia during the early Pleistocene. Biogeography, taxonomy and chronology are used to develop criteria that have an effect on how we defined or identify African taxa. By critically evaluating the number of African taxa in Eurasia through the lens of these criteria, the number of African taxa may be reduced from a maximum of 30 to a minimum of six. The actual number may be either one of these two numbers, or any number in between, depending on how rigorous we are in applying the criteria. Thus, while the criteria presented in this paper have face value, they are not in any way more “correct” than other criteria, but are heuristic in presenting the difficulties in assigning an African origin to fauna found in early Pleistocene sites. This points to the need to be cautious when making inferences about the relationship between the dispersal of Homo with that of other African taxa.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Les « hypothèses de migration par vagues » suggèrent que l’Homo du Pléistocène inférieur s’est dispersé à partir de l’Afrique avec une série d’autres grands mammifères. Ces hypothèses trouvent leur fondement principal aux sites d’‘Ubeidiya (Israël) et de Venta Micena (Espagne), dans lesquels un grand nombre de taxons africains ont été identifiés. L’article présente une évaluation critique de la manière dont ces taxons peuvent être identifiés et suggèrent des critères pour l’identification des taxons d’origine africaine présents en Eurasie au Pléistocène inférieur. La biogéographie, la taxonomie et la chronologie sont utilisées pour développer des critères ayant un effet sur la manière dont les taxons africains sont définis ou identifiés. Par évaluation critique du nombre des taxons africains présents en Eurasie, à la lumière de ces critères, ce nombre peut être réduit d’un maximum de 30 à un minimum de six. Le nombre actuel peut être, soit l’un de ces deux nombres, soit n’importe lequel situé entre les deux extrêmes et dépendant de la rigueur avec laquelle ces critères ont été appliqués. Ainsi, bien que les critères présentés dans cet article aient une valeur nominale, ils ne sont en aucune façon plus « corrects » que d’autres, mais sont heuristiques, dans la mesure où ils montrent les difficultés qu’il y a à assigner une origine africaine à la faune trouvée dans les sites du Pléistocène inférieur. Ceci met en évidence la nécessité d’être prudent à propos des déductions que l’on peut faire quant à la relation entre la dispersion d’Homo et celle d’autres taxons africains.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Biogeography, Chronology, Taxonomy, Dispersal, Out of Africa, Homo, Early Pleistocene
Mots clés : Biogéographie, Chronologie, Taxonomie, Dispersion, Hors de l’Afrique, Homo, Pléistocène inférieur
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