Quality improvement program of adult urinary tract infection management: Review and impact - 23/11/17
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Abstract |
Objective |
A quality improvement program for adult urinary tract infection management was established to avoid unnecessary antibiotic treatment and to promote adequate prescription, associated with financial and time savings.
Methods |
Management was integrated into a three-step approach: clinical diagnosis, bacteriological diagnosis, and therapeutic decision. For each step, areas for improvement were prioritized and implemented through corrective measures and key messages, measured by indicators. This program was applied to the whole hospital, which includes an emergency department and hospital units (672 beds).
Results |
The diffusion of new recommendations on clinical diagnosis helped limit the use of Urine Dipstick Tests (UDT) and identify situations requiring the prescription of urine cytobacteriological test (UCBE) and antibiotic treatment: decreased annual consumption of UDTs (34%) and UCBEs (25%). The implementation of a new sampling system for UCBEs was associated with a 21% increase in conclusive analysis. Results of antimicrobial susceptibility testing were also optimized. Trainings on the proper use of antibiotics led to a 5.0% decline in global consumption. Only 23 antibiotic prescriptions for UTI resulted in pharmaceutical advice to prescribers in 2014.
Conclusion |
The program is part of a practice improvement strategy. Integrating the management of urinary tract infections into a global process helped improve each step of patient management.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectifs |
Un programme d’amélioration de la qualité de la prise en charge des infections urinaires de l’adulte a été établi pour éviter toute antibiothérapie inutile et promouvoir la juste prescription ; des objectifs d’économie financière et de temps étaient associés.
Méthodes |
La prise en charge a été assimilée à un processus en trois étapes: diagnostic clinique, bactériologique et décision thérapeutique. Pour chacune d’entre elles, des axes d’amélioration ont été priorisés et mis en œuvre par des actions correctives et messages clés, évalués par des indicateurs. Ce programme a été appliqué à l’ensemble d’un centre hospitalier général, constitué d’un service d’urgence et de services d’hospitalisation (672 lits).
Résultats |
La diffusion de nouvelles recommandations concernant le diagnostic clinique a permis de limiter l’utilisation des bandelettes urinaires, d’identifier les situations justifiant la prescription d’un ECBU et d’une antibiothérapie : diminution annuelle des bandelettes urinaires de 34 % et des ECBU de 25 %. L’instauration d’un nouveau système de prélèvement des ECBU est corrélée à une augmentation de 21 % des analyses concluantes. Le rendu des résultats des antibiogrammes a été optimisé. Les formations sur le bon usage des antibiotiques ont entraîné une baisse de 5,0 % des consommations globales. Seulement 23 antibiothérapies urinaires ont donné lieu à une intervention pharmaceutique auprès des prescripteurs en 2014.
Conclusion |
Le programme s’inscrit dans une démarche d’amélioration des pratiques. Assimiler la prise en charge des infections urinaires à un processus global a permis d’améliorer chacune des étapes pour le bénéfice des patients.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : UCBE, Antibiotherapy, Healthcare quality, Urinary tract infections
Mots clés : ECBU, Antibiothérapie, Qualité des soins, Infections urinaires
Plan
Vol 47 - N° 8
P. 519-525 - décembre 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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