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Aquatic life in Neotropical rainforest canopies: Techniques using artificial phytotelmata to study the invertebrate communities inhabiting therein - 09/01/18

Vie aquatique dans les canopées de forêts néotropicales : techniques utilisant des phytotelmes artificiels pour étudier les communautés d’invertébrés

Doi : 10.1016/j.crvi.2017.10.003 
Alain Dejean a, b, , Frédéric Petitclerc b, Frédéric Azémar a, Laurent Pélozuelo a, Stanislas Talaga c, Maurice Leponce d, Arthur Compin a
a EcoLab, CNRS, INPT, UPS, Université de Toulouse, 31062 Toulouse, France 
b CNRS, UMR EcoFoG, AgroParisTech, Cirad, INRA, Université des Antilles, Université de Guyane, 97310 Kourou, France 
c Unité d’entomologie médicale, Institut Pasteur de la Guyane, 23, avenue Pasteur, BP 6010, 97306 Cayenne cedex, France 
d Aquatic and Terrestrial Ecology, Royal Belgian Institute of Natural Sciences, 29, rue Vautier, 1000 Bruxelles, Belgium 

Corresponding author. Université de Toulouse, Bâtiment 4R1, Laboratoire “Écologie fonctionnelle et environnement”, 118, route de Narbonne, 31062 Toulouse, France.

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Abstract

In Neotropical rainforest canopies, phytotelmata (“plant-held waters”) shelter diverse aquatic macroinvertebrate communities, including vectors of animal diseases. Studying these communities is difficult because phytotelmata are widely dispersed, hard to find from the ground and often inaccessible. We propose here a method for placing in tree crowns “artificial phytotelmata” whose size and shape can be tailored to different research targets. The efficacy of this method was shown while comparing the patterns of community diversity of three forest formations. We noted a difference between a riparian forest and a rainforest, whereas trees alongside a dirt road cutting through that rainforest corresponded to a subset of the latter. Because rarefied species richness was significantly lower when the phytotelmata were left for three weeks rather than for six or nine weeks, we recommend leaving the phytotelmata for twelve weeks to permit predators and phoretic species to fully establish themselves.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Résumé

Dans les canopées des forêts néotropicales, les phytotelmes abritent des invertébrés aquatiques, y compris des vecteurs de maladies animales. Il est difficile d’étudier ces communautés, car ces phytotelmes sont dispersés, difficiles à localiser depuis le sol et souvent inaccessibles. Nous proposons donc de placer dans la cime des arbres des « phytotelmes artificiels » (taille et forme adaptables à différents besoins). L’efficacité de la méthode a été démontrée en comparant les patrons de diversité entre trois types de formations forestières. Nous avons noté une différence entre une forêt ripicole et une forêt ; les arbres situés le long d’un chemin traversant cette forêt représentent un sous-ensemble de cette dernière. La richesse spécifique étant plus faible pour les conteneurs laissés durant trois semaines plutôt que six ou neuf semaines, nous préconisons de les laisser pendant douze semaines pour permettre l’installation complète des prédateurs et des espèces phorétiques.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Keywords : Artificial phytotelmata, Epiphytes, French Guiana, Invertebrate diversity, Neotropical rainforests

Mots clés : Phytotelmes artificiels, Épiphytes, Guyane française, Diversité d’invertébrés, Forêts néotropicales


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Vol 341 - N° 1

P. 20-27 - janvier 2018 Retour au numéro
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