Among the Erymidae Van Straelen, 1925, known as early as the Late Permian (Changhsingian) and widespread in the Jurassic, the genus Enoploclytia M’Coy, 1849 seems to have a late appearance because of its lack before the Cretaceous. Until now, the oldest representative was E. augustobonae Devillez, Charbonnier, Hyžný and Leroy, 2016 from the Early Cretaceous (Barremian) of the eastern Paris basin (France). However, a new fossil collected in Normandy (France), showing the typical carapace groove pattern of Enoploclytia, attests the presence of the genus in the Late Jurassic (Oxfordian).

Parmi les Erymidae Van Straelen, 1925, connus dès le Permien supérieur (Changhsingien) et répandus au Jurassique, le genre Enoploclytia M’Coy, 1849 passe pour être apparu tardivement en raison de son absence avant le Crétacé. Jusqu’à présent, le plus ancien représentant était E. augustobonae Devillez, Charbonnier, Hyžný et Leroy, 2016 du Crétacé inférieur (Barrémien) de l’est du bassin de Paris (France). Cependant, un nouveau fossile récolté en Normandie (France), présentant une architecture des sillons de la carapace typique d’Enoploclytia, atteste de la présence du genre dès le Jurassique supérieur (Oxfordien).