Intérêt de l’activité physique pendant et après un cancer - 28/02/18
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Résumé |
L’INCa a publié en mars 2017 un état des lieux et des connaissances sur les bénéfices de l’activité physique pendant et après les traitements [1 ].
L’activité physique définie par Caspersen [2 ] semble être selon la conclusion de ces nombreuses études, le seul moyen intéressant de lutter contre la fatigue induite par la maladie elle-même, et par le traitement.
La fatigue peut être définie comme un phénomène subjectif multidimensionnel, physique, cognitif, émotionnel, comportemental.
La pratique de l’activité physique offrirait de nombreux impacts favorables sur les conséquences physiques et psychologiques de la maladie et de ses traitements, mais également sur le déconditionnement qui affecte l’autonomie du patient, sa qualité de vie mais aussi son espérance de vie.
Les études de Meyerhardt et al. et de Richman et al. de 2011 [4 , 3 ] ont également montré un lien entre la pratique de l’activité physique pendant et après les traitements et la baisse de récidive dans le cas de nombreux cancers comme le côlon, le sein et la prostate.
Le kinésithérapeute est un acteur à part entière de ce parcours des patients atteints de cancer. Il sera cependant important de bien connaître la pathologie, ses traitements et leurs effets indésirables, afin d’optimiser la prise en charge du patient via l’activité physique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Cancer, Kinésithérapie, Sport
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Vol 18 - N° 194
P. 24-25 - février 2018 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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