Oxidative stress, muscle and liver cell damage in professional soccer players during a 2-game week schedule - 19/04/18
Dommages musculaires et hépatiques induits par le stress oxydatif chez des joueurs de football professionnels jouant deux matchs dans la même semaine
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Summary |
Objectives |
The purpose of this study was to investigate the redox status in professional football players during a championship period consisting of two games interspersed with low-intensity training.
Methods |
The collection of blood and saliva began at the start of a championship tournament that followed a week without any strenuous activity after a full season of games. Six collections were performed: (1) basal; (2) post-game one (day 2); (3) 48h post-game-one (day 4); (4) post-game two (day 6); (5) 24h post-game two (day 7); and (6) 48h post-game two (day 8).
Results |
Damage to liver was suggested by increased levels of γ-glutamyl transferase (∼47%; P<0.05), but only 48h post-game two. The redox balance was also affected, since uric acid was increased (90%) post-game two for 24h (P<0.05) and the ratio of reduction to oxidized glutathione decreased after post-game one until 48h after game two (4.05±1.7 basal; 0.34±0.07 48 post-game two). In plasma, creatine kinase (CK) levels increased two-fold after the first game (79 to 216 IU/L) suggesting muscle damage and remained elevated throughout the period of the study.
Conclusion |
The results show a significant increase in oxidative stress during a week of professional activity spanning 2 games in professional football players suggesting that the conventional recovery period between games is not sufficient to prevent muscle and liver cells damage.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Le but de cette étude a été de mieux comprendre comment le potentiel d’oxydoréduction du sang et de la salive de joueurs de football professionnels varie pendant une période de championnat où deux matchs sont séparés par des entraînements de faible intensité.
Méthodes |
Dans notre étude, une semaine de repos a séparé une saison complète de matchs du championnat. Six collectes de sang et de salive ont été réalisées à partir du début de championnat : (i) basal (contrôle) ; (ii) immédiatement après le premier match (jour 2) ; (iii) 48h après le premier match (jour 4) ; (iv) immédiatement après le second match (jour 6) ; (v) 24h après le second match (jour 7) ; (vi) 48h après le second match (jour 8).
Résultats |
Des niveaux accrus de γ-glutamyl transferase (∼47 % ; p<0,05) accompagnés de dommages au foie ont été observés 48h après le second match. Le potentiel d’oxydoréduction a également été affecté après le second match, puisque l’acide urique a augmenté (∼90 %) et s’est maintenu à un niveau élevé durant 24h (p<0,05). Par contre, le rapport entre glutathion réduit et oxydé a diminué dans l’intervalle après le premier match jusqu’à 48h après le second (basal : 4,05±1,7 ; 48h après le second match : 0,34±0,07). Les taux de créatine kinase (CK) du plasma ont doublé sont restées élevées après le premier match, ce qui suggère un taux de dommages musculaires important tout au long de l’étude.
Conclusion |
Les résultats ci-dessus illustrent l’augmentation significative du stress oxydatif chez les joueurs de football professionnels pendant une semaine d’activité couvrant deux matchs suggérant que la période de récupération classique entre les matchs n’est pas suffisante pour prévenir les dommages aux muscles et aux cellules du foie.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Football, Liver damage, Muscle damage, Oxidative stress, Saliva
Mots clés : Football, Stress oxydatif, Dommage musculaire, Salive, Dommage hépatique
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