Could dysmenorrhea decrease strength performance when a velocity-based resistance testing is used? - 18/09/18
La performance de vitesse est-elle diminuée en cas de dysménorrhée ?
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Summary |
Aims |
To analyse performance across the menstrual cycle using optimal load and a velocity-based training, and to check the impact of dysmenorrhea in this type of training.
Methods |
Five eumenorrheic women with a normal menstrual cycle participated in four performance tests: 20-meter linear sprint, counter-movement jump, bench-press and half-squat. The tests were performed at the time of menstruation and in the luteal-phase. In addition, data of mood states, sleep quality and rate of perceived exertion in both phases were collected. To analyse dysmenorrhea, subjects fulfilled a menstrual pain questionnaire. Analysing the group as a whole, better results were only found in the repetition maximum of the half-squat in the menstruation phase.
Results |
When analysing the group dividing it according to pain variables, the group that presented some pain variable showed worse test results in both phases with respect to the no pain group in both half-squat and bench-press. In addition, the pain group showed a lower repetition maximum in both half-squat and bench-press in the luteal-phase, whereas the no pain group presented a similar repetition maximum in both phases. There were no differences in any other tests. Menstrual pain seems to be involved in the differences obtained in the test results, since the no pain group obtained better results than the pain group in both phases, and they also maintained their values constant throughout the menstrual cycle, whereas the pain group presented a decrease in performance in the luteal-phase.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Analyser la performance au cours du cycle menstruel en utilisant l’entraînement en vitesse, et de vérifier l’impact de l’existence d’une dysménorrhée dans ce type d’entraînement.
Matériels et méthodes |
Cinq femmes présentant un cycle menstruel normal ont participé à quatre tests de performance : 20 mètres de vitesse maximale, saut avec contre-mouvement, développé couché lancé et demi squat en parallèle. Les tests ont été réalisés pendant la phase de menstruation et pendant la phase lutéale. En plus, des données mesurant l’humeur, la qualité du sommeil et le niveau d’effort physique perçu ont été évalués dans les deux phases. Pour analyser la dysménorrhée, les participantes ont rempli un questionnaire pour valider la présence de douleur menstruelle.
Résultats |
En analysant le groupe complet, la répétition maximale du demi-squat en parallèle a donné de meilleurs résultats pendant la phase menstruelle. Quand le groupe a été stratifié par rapport à la variable douleur, le sous-groupe qui a déclaré ressentir de la douleur a réalisé de moins bons résultats pendant les deux phases. En plus, les sportives ont aussi maintenu les valeurs de ces répétitions constantes pendant le cycle menstruel, tandis que le groupe qui ressentait une douleur a présenté une diminution de performance pendant la phase lutéale.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Dysmenorrhea, Menstrual cycle, Strength training, Power output, Velocity
Mots clés : Dysménorrhée, Cycle menstruel, Entraînement de force, Puissance développée, Vitesse
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