Étanchéité des obturations coronaires - 03/12/08
Article en cours de réactualisation
Résumé |
L'étanchéité des obturations coronaires est considérée comme la clé de voûte de la pérennité des restaurations en odontologie conservatrice. Jusque dans les années 1970, avec les matériaux utilisés alors (amalgame d'argent, silicates...), l'accent était mis essentiellement sur la fixité de l'obturation. Il était alors classique de considérer que toute restauration coronaire présentait un défaut d'étanchéité au niveau de l'interface dent-restauration. Depuis l'avènement des techniques de collage, ce concept est battu en brèche et l'on peut raisonnablement aujourd'hui parler de réelle étanchéité pour nos restaurations, puisque l'adhésion, lorsqu'elle est obtenue, permet d'assurer une adaptation marginale irréprochable venant véritablement sceller les bords des restaurations collées. L'étanchéité ainsi obtenue est immédiate, mais elle doit être conservée dans le temps, et ce, quelles que soient les contraintes que subiront le matériau d'obturation et le joint adhésif dans l'environnement buccal. Notre propos se limite à l'étude des matériaux d'obturations coronaires définitifs, plastiques lors de leur insertion. Nous excluons donc les restaurations faisant appel au laboratoire de prothèse ou à la fabrication assistée par ordinateur, ainsi que les matériaux d'obturation provisoire.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Étanchéité, Percolation, Amalgame, Composite, Ciment verre ionomère, Adhésion
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