There are no conformal Einstein rescalings of complete pseudo-Riemannian Einstein metrics - 21/08/09
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Abstract |
Let g be an Einstein metric of indefinite signature such that the conformally-equivalent metric is also Einstein. We show that if the metric g is light-line complete, then the conformal coefficient ψ is constant. If the manifold is closed, the completeness assumption can be omitted (the latter result is due to Mikeš–Radulovich and Kühnel, but our proof is much simpler).
The proof is based on the investigation of the behavior of the function ψ along light-line geodesics: we show that for every light-line geodesic we have . Since the function ψ cannot vanish, the light-line completeness of the metric implies .
If the manifold is closed, the function ψ accepts its maximal value at a certain point. Then, for every light-line geodesic γ through this point we have implying at every point of this geodesic. Repeating the argumentation, we obtain that for every light-line geodesic intersecting γ we have at every point of as well and so on. Since every two points can be connected by a sequence of light-line geodesics, ψ is constant on the whole manifold. To cite this article: V. Kiosak, V.S. Matveev, C. R. Acad. Sci. Paris, Ser. I 347 (2009).
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Soit g une métrique pseudo-riemannienne non définie de type Einstein telle que la métrique conformément équivalente soit aussi d’Einstein. Nous montrons que si la métrique g est lumière-complète, i.e. ses géodésiques isotropes sont complètes, alors le coefficient ψ est constant. Si la variété est fermée, l’hypothèse de complétude peut être omise (ce dernier résultat est dû à Mikeš–Radulovich et Kühnel, mais notre démonstration est plus courte).
La démonstration est basée sur l’étude du comportement de la fonction ψ le long des géodésiques de type lumière. Si est une telle géodésique, alors : . Comme la fonction ψ est non-nulle, la lumière-complétude implique .
Si la variété est fermée, la fonction ψ prend sa valeur maximale en un certain point. Donc, pour toute géodésique de type lumière γ passant par ce point, on a , ce qui implique que en tout point de cette géodésique. En répétant cet argument, on obtient que pour toute géodésique de type lumière coupant γ, en tout point de , et ainsi de suite. On en déduit ψ est constante sur la variété entière, car deux points quelconques peuvent être joints par une suite de géodésiques de type lumière. Pour citer cet article : V. Kiosak, V.S. Matveev, C. R. Acad. Sci. Paris, Ser. I 347 (2009).
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Vol 347 - N° 17-18
P. 1067-1069 - septembre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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