Multiphase computations using sharp and continuous interface techniques for micro-gravity applications - 01/01/04
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Résumé |
The Eulerian-Lagrangian method is a popular and effective approach for handling multi-fluid problems involving substantial shape variations. Specifically, one can consider the interface either as a sharp discontinuity, consistent with the fundamental continuum theory, or as a smooth transition zone, reducing numerical difficulties in tracking distinct regions. In this article, we highlight the performance characteristics of both techniques. Computationally, both approaches can be devised using similar concepts, namely, the interface is represented by marker points and advected in a Lagrangian framework, and the mass, momentum, and energy conservation equations are solved on a fixed (Eulerian) Cartesian grid using a second-order projection method. The main difference lies in the way of accounting for the interfacial conditions and communication across the interface. The sharp interface method is more demanding computationally because the field equations in each zone need to be coupled with those in other materials/phases, by explicitly tracking the interfacial conditions via matching procedures. In return, second-order accuracy can be attained as compared to the first-order accuracy in the continuous interface method. Nevertheless, in physical applications, both approaches can be highly effective in handling a variety of multi-fluid problems involving moving boundaries. Several examples are presented to highlight the various performance characteristics of the two techniques. To cite this article: W. Shyy, C. R. Mecanique 332 (2004).
Résumé |
La méthode eulerienne-lagrangienne offre une approche populaire et efficace pour traiter des problèmes multi-fluidiques comportant des variations de forme. Spécialement, quand l'interface est considérée comme une discontinuité, consistante avec la théorie du milieu continu, ou comme une transition continue rapide, réduisant les difficultés numériques pour marquer les différentes régions. Dans ce papier, des éclaircissements sont apportés sur la performance des deux techniques. Sur le plan numérique, les deux approches sont développés sur des concepts similaires, l'interface est représentée par des marqueurs soumis à l'advection dans le sens lagrangien et les équations de conservation de la masse, de la quantité de mouvement et de l'énergies sont résolues sur une grille cartésienne fixe (eulerienne) à l'aide d'une méthode de projection de second ordre. La différence essentielle réside dans la manière de prendre en compte les conditions de transmission à l'interface. La méthode où l'interface est considérée comme une discontinuité demande un effort supplémentaire au sens numérique parce que le champ de vitesses dans chaque zone doit être couplé avec ceux dans les autres matériaux/phases, en assurant explicitement les conditions de transmission à l'interface par des procédures de raccordement. Par contre, une précision de second ordre pent être obtenue en comparaison avec le premier ordre de la méthode de l'interface continue. Néanmoins, pour des applications physiques, les deux approches peuvent être très efficaces pour traiter une variété de problèmes multi-fluides qui comportent des frontières mobiles. Plusieurs exemples sont apportés pour illustrer les performances des deux techniques. Pour citer cet article : W. Shyy, C. R. Mecanique 332 (2004).
Mots clés : Computational fluid mechanics ; Moving boundary problems ; Multiphase systems ; Micro-gravity science.
Mots clés : Mécanique des fluides numérique ; Problèmes des frontières mobiles ; Système multiphase.
Plan
Vol 332 - N° 5-6
P. 375-386 - mai-juin 2004 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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