Pneumopathies nosocomiales chez le patient non immunodéprimé - 01/01/03
pages | 12 |
Iconographies | 3 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
Les infections nosocomiales qui viennent compliquer une hospitalisation, prolongent la durée de séjour et majorent le coût des soins. Elles seraient à l'origine d'une augmentation de la mortalité, bien qu'il soit toujours difficile d'attribuer celle-ci à l'infection nosocomiale plutôt qu'à la pathologie de fond. Ces infections ont été d'une part largement médiatisées dans un contexte de « risque zéro », d'autre part, à l'origine de nombreuses mesures de précaution, visant à la fois à prévenir la transmission d'un patient à l'autre via le personnel ou le matériel et à prescrire le plus rationnellement possible les antibiotiques. Par pneumopathies nosocomiales, on sous-entend souvent pneumopathies chez les patients ventilés artificiellement, car elles ont fait couler beaucoup d'encre. Leur diagnostic positif et bactériologique pose problème, et les partisans des moyens invasifs et non invasifs de diagnostic continuent à s'opposer. D'autres infections respiratoires nosocomiales, bien que plus rares, sont à considérer chez les patients non ventilés. Certaines, comme les infections à légionelles ou tuberculeuses ont un mode de propagation différent par rapport aux autres pneumopathies nosocomiales et impliquent des mesures préventives particulières.
Mots-clés : Pneumopathie nosocomiale, Ventilation mécanique, Fibroscopie bronchique, Brosse distale protégée, Lavage bronchoalvéolaire, Tuberculose, Légionellose
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à ce traité ?