Fluid–solid coupling on a cluster of GPU graphics cards for seismic wave propagation - 08/02/11
pages | 11 |
Iconographies | 0 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Abstract |
We develop a hybrid multiGPUs and CPUs version of an algorithm to model seismic wave propagation based on the spectral-element method in the case of models of the Earth containing both fluid and solid layers. Thanks to the overlapping of communications between processing nodes on the computer with calculation by means of non-blocking message passing, we obtain excellent weak scalability of this finite-element code on a cluster of 192 GPUs and speedup factors of more than one order of magnitude compared to the same code run on a cluster of traditional CPUs. This enables us to show a new geophysical phenomenon concerning wave propagation of diffracted shear waves in a layer called D″ located at the base of the Earth's mantle, namely that in this layer the transverse and radial components of these waves can undergo a relative shift even in an isotropic Earth model, whereas this observation in real seismological data was interpreted until now as an indication of the presence of anisotropy in this layer.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Nous développons une version hybride multiGPUs et CPUs d'un algorithme de modélisation de la propagation des ondes sismiques fondé sur la méthode des éléments spectraux dans le cas de modèles de terre présentant à la fois des couches fluides et des couches solides. Grâce au recouvrement des communications entre noeuds informatiques par du calcul au moyen de passage de messages non bloquants nous obtenons un excellent passage à l'échelle faible ( « weak scalability ») de ce code d'éléments finis d'ordre élevé sur un réseau ( « cluster ») de 192 GPUs et des facteurs d'accélération de plus d'un ordre de grandeur par rapport au même code exécuté sur un cluster de CPUs classique. Ceci nous permet de démontrer un phénomène géophysique nouveau concernant la propagation des ondes de cisaillement diffractées dans une couche appelée D″ située à la base du manteau terrestre, à savoir que dans cette couche les composantes transverse et radiale de ces ondes peuvent subir un décalage relatif y compris dans un modèle de terre isotrope, alors que cette observation dans des données sismologiques réelles était jusqu'à présent interprétée comme un signe de la présence d'anisotropie dans cette couche.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Computer science, Numerical modeling, Finite elements, Seismic waves
Mots-clés : Informatique, Modélisation numérique, Éléments finis, Ondes sismiques
Plan
Vol 339 - N° 2-3
P. 125-135 - février 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?