IRM des cardiopathies congénitales - 01/01/05
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Résumé |
La prise en charge des cardiopathies congénitales est souvent un challenge diagnostique. Dans ce domaine, l'imagerie par résonance magnétique (IRM), du fait de sa complémentarité par rapport à l'échocardiographie et de son innocuité, occupe une place de choix dans la gamme des explorations cardiaques non invasives. L'IRM offre à la fois une représentation multiplanaire tridimensionnelle de l'anatomie du système cardiovasculaire avec un champ de vue large (sans interférence osseuse ou aérique) et une excellente résolution spatiale, mais également une approche fonctionnelle sur les flux. L'IRM permet ainsi d'accéder à des anomalies (notamment extracardiaques) qui échappent à l'échocardiographie mais aussi à l'angiographie. L'IRM s'est donc, dès la phase initiale de son développement, progressivement imposée comme un outil indispensable dans le bilan des cardiopathies congénitales. Sa place gagnée en deuxième intention après l'échocardiographie dans l'évaluation des cardiopathies congénitales répond en premier lieu au souci légitime d'éviter, dans la mesure du possible, le recours chez l'enfant ou le jeune adulte à des techniques d'exploration invasives et/ou génératrices de rayonnements ionisants.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Cardiopathies congénitales, Anomalies vasculaires, IRM, Échocardiographie
Plan
Cet article a été réalisé à partir du livre du Professeur B. Kastler, « IRM des malformations cardiaques », ISBN 2-84299-352-7 publié par les Editions Scientifiques et Médicales Elsevier en 2001. |
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