Hypertension artérielle - 01/01/00
service de médecine interne, hôpital Saint-Michel, 33, rue Olivier-de-Serres, 75015 Paris France
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Résumé |
Jusqu'à la fin des années 1960, certains médecins pensaient qu'une pression artérielle élevée était nécessaire pour pouvoir irriguer les organes vitaux chez le sujet âgé. Après les résultats des études épidémiologiques, dont la plus célèbre s'est déroulée dans la ville de Framingham aux États-Unis, il devenait évident que le risque de survenue d'un accident cardiovasculaire (infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral) était positivement corrélé au niveau de la pression artérielle. Le risque augmentant de manière plus importante au-delà des valeurs de 140/90 mmHg, ces valeurs ont été dès lors proposées pour définir de manière arbitraire l'hypertension artérielle. Dans un second temps, les essais thérapeutiques ont montré que l'abaissement des chiffres tensionnels permettait de réduire l'incidence des événements cardiovasculaires [1] .
Mots-clés : hypertension artérielle, risque cardiovasculaire, mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA), règles hygiénodiététiques, observance, HTA maligne
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