Artériopathies iatrogènes et toxiques - 01/01/97
Pierre Godeau : Professeur des Universités, praticien hospitalier
Jean-Charles Piette : Professeur des Universités, praticien hospitalier
Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, médecine interne 2, service du professeur Piette, 47-83, boulevard de l'Hôpital, 75651 Paris cedex France
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Résumé |
Les artériopathies iatrogènes et toxiques, bien que décrites pour la plupart d'entre elles depuis de nombreuses années, voire décennies, restent méconnues ou mal connues des médecins. Les troubles vasomoteurs réalisés peuvent être très variables : phénomène de Raynaud, acrorhigose, livedo réticulaire, ergotisme, syndrome amantadinique ou syndrome acrodynique. Les explorations complémentaires n'aident pas à l'enquête étiologique. Les diagnostics positif et étiologique reposent avant tout sur l'anamnèse. Les auteurs précisent les principales caractéristiques des artériopathies induites par les dérivés de l'ergot de seigle, les bêtabloqueurs, les chimiothérapies antinéoplasiques, les inhibiteurs calciques, les anorexigènes, le sumatriptan et d'autres molécules pour lesquelles les preuves d'imputabilité sont moins bien établies. Sont également abordées les artériopathies iatrogènes non médicamenteuses, toxiques professionnelles, et celles induites par la cocaïne ou les amphétamines.
Plan
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