Prise en charge de la polyneuropathie diabétique douloureuse - 27/04/12
Résumé |
La neuropathie douloureuse concerne environ 20 % des patients diabétiques de type 2 et 5 % des patients diabétiques de type 1. Elle devrait être systématiquement recherchée par l’interrogatoire car les patients n’en parlent pas spontanément. C’est une complication qui concerne les petites fibres. Elle peut donc s’accompagner d’un test au monofilament normal et d’un électromyogramme normal. Ces deux examens ne permettent donc pas d’affirmer ni d’infirmer le diagnostic de neuropathie douloureuse. Celui-ci est clinique : type de douleur (brûlure, décharge électrique, froid douloureux.), horaire des douleurs (plutôt au repos, plutôt la nuit), sensations anormales (fourmillement, engourdissement…). Le questionnaire DN4 est un outil diagnostic simple et validé. Trois classes médicamenteuses ont fait la preuve de leur efficacité, qui est équivalente : les antiépileptiques, les antidépresseurs tricycliques les inhibiteurs mixtes de recapture de la sérotonine et de la noradrénaline.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Vol 5 - N° 5S1
P. H1-H34 - septembre 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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