L’imagerie du plexus brachial non traumatique repose sur l’IRM en première intention. La connaissance de l’anatomie et des variantes les plus fréquentes est indispensable. L’imagerie 3Tesla offre la possibilité de séquences 3D isotropiques avec d’excellentes résolutions spatiales et en contraste, autorisant un gain de temps et de qualité. Les pathologies les plus fréquemment rencontrées sont les lésions tumorales bénignes et les atteintes post-radiques. L’utilisation de gadolinium est nécessaire pour le bilan des plexopathies inflammatoires ou tumorales. Les données de l’examen IRM doivent être corrélées à celles d’un examen TEP-FDG en cas de suspicion de récidive tumorale.