Neuropathies sensitives - 03/11/14
Article en cours de réactualisation
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Résumé |
Les neuropathies sensitives sont les plus fréquentes des neuropathies. La difficulté pour le neurologue vient du fait qu'au milieu de nombreuses neuropathies sensitives dont l'étiologie est évidente ou d'autres dites « idiopathiques » et relativement peu évolutives, se cachent des neuropathies qui imposent un diagnostic étiologique car elles sont curables, d'origine génétique, graves et/ou de mauvais pronostic. Après l'anamnèse et l'examen clinique qui permettent de « classer » la neuropathie, le neurologue a recours à l'électroneuromyogramme pour définir le caractère axonal et/ou démyélinisant de l'atteinte périphérique. Il le renseigne aussi sur la distribution des troubles ainsi que sur l'évolutivité et la gravité de la neuropathie. Nous nous proposons de revenir sur les principaux tableaux de neuropathies sensitives en mettant en parallèle les données physiopathologiques, cliniques et neurophysiologiques.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Amylose, CANOMAD, ENMG, Génétique, HSAN, MAG, Mononeuropathie multiple, Neuropathie des petites fibres, Neuropathie sensitive, Neuronopathie sensitive, PIDC
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