Place du médecin généraliste dans le traitement du cancer en Champagne-Ardenne - 25/03/15
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Résumé |
Introduction |
La loi HPST et le Plan cancer 2 insistent sur le rôle pivot du médecin généraliste (MG) dans la prise en charge (PEC) du patient atteint de cancer.
Méthode |
Une enquête d’opinion a été menée en Champagne-Ardenne afin d’évaluer la satisfaction et les besoins de 1231MG dans la PEC des patients. Un questionnaire leur a été envoyé par la poste en mars et en avril 2011. Les données ont été analysées avec le logiciel Sphinx.
Résultats |
Le taux de participation était de 33% (n=405/1231). Les participants étaient majoritairement des hommes (n=296; 73%), Âgés en moyenne de 51,8ans (e.-t.: 9ans). Ils étaient majoritairement satisfaits (n=343; 85%) de la communication avec les cancérologues, du délai de réception du compte rendu de la réunion de concertation pluridisciplinaire (n=353; 88%) et du programme personnalisé de soins (n=319; 81%). Mais, 69% (n=269) estimaient que leur communication avec les cancérologues restait à améliorer. Enfin, deux tiers considéraient leur niveau de formation en cancérologie comme non satisfaisant (n=243; 64%).
Conclusion |
Cette étude met en évidence des pistes d’amélioration pour renforcer la place du MG dans la PEC du patient atteint de cancer.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Abstract |
Introduction |
In France, general practitioners (GPs) are playing a key role in cancer care since the HPST law and the second national cancer plan.
Method |
A postal questionnaire survey was conducted in Champagne-Ardenne Area to evaluate GPs’ satisfaction and needs in cancer management. A questionnaire was sent by mail in March and April 2011 to 1231 GPs. Statistical analysis of the results was done using Sphinx software (France).
Results |
Participation rate was 33% (n=405/1231). Most of the participants were male (n=296; 73%), and the mean age was 51.8 years (s.d.: 9 years). Participants described as acceptable their communication with oncologists (n=343; 85%), the delay of receiving the multidisciplinary team meeting report (n=353; 88%) and the patient personalised care plan (n=319; 81%). However, 69% (n=269) stated that the communication between GPs and oncologists should improve and 64% (n=243) were not satisfied with their level of oncology knowledge.
Conclusion |
This study identified important key points that need to be improved in order to strengthen the place of GPs in cancer management.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : médecin généraliste, cancer, enquête de besoin
Key words : general practitioners, needs assessments, neoplasms
Plan
Vol 99 - N° 5
P. 557-562 - mai 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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