Patient labels as a quality indicator of identitovigilance in French hospitals - 11/06/15
, S. Refray c
, J.-Y. Py d
, F. Dehaut e 
| pages | 3 |
| Iconographies | 3 |
| Vidéos | 0 |
| Autres | 0 |
Abstract |
Introduction |
Identity risk is frequent and serious. Between 2007 and 2010, 25.6% of 1572 serious adverse events declared in France are related to identitovigilance. No regulation clearly defines an ideal patient label even when a delivery refusal is applied in case of absent or incomplete identity (absence of surname and/or first name and/or birth date). The aim of the study was to draw up the current situation of patient labels in hospitals connected with our blood transfusion center and being used for blood products delivery and immuno-hematology analyses.
Materials and methods |
We defined an ideal label with 5 items which must be present and clearly identified: surname, usual or marital name, first name, birth date and sex. It contains also an identifier, if possible with a bar code. We compare it with labels used in our hospitals.
Results |
Only 22% (17/76) had a patient label in compliance with our ideal label. Most of the items, even if they were not clearly identified on the label, were present. The surname was present and clearly indicated in 75% of cases (57/76). In approximately 50% of cases, there was a barcoded permanent and/or stay identifier.
Conclusion |
Our results, with only 22% of labels considered as ‘ideal’, show all the work which remains to be done. A temporary solution can be the elaboration by hospitals of an identification guide of their present labels.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
Le risque identitaire est fréquent et grave (25,6 % des 1572 incidents grave déclarés sur e-fit entre 2007–2010 avait un lien avec l’identitovigilance). Les étiquettes patient réalisées par les établissements de santé (ES) à l’entrée de celui-ci représentent le socle de l’identification tout au long d’un séjour de soins.
Matériel et méthodes |
Nous avons effectué un état des lieux des étiquettes patients existant dans différents ES rattachés à l’établissement français du sang Centre Atlantique (EFSCA) et servant à la délivrance des PSL, et/ou à la réalisation des examens immuno-hématologiques. Nous avons étudié la variabilité de chacune de ces étiquettes en fonction d’une étiquette jugée idéale. L’étiquette idéale comprend les 5 items suivants nommément inscrits : nom de famille, nom d’usage, prénom, date de naissance et sexe, ainsi qu’éventuellement un identifiant code barres (permanent ou séjour).
Résultats |
Dix-sept sur 76 des prescriptions (22 %) ont une étiquette conforme à notre étiquette idéale. Pour la majorité des items, même s’il n’y avait pas de mention explicative, ils étaient présents. Le nom de famille était clairement indiqué dans 75 % des cas (57/76), avec une mention telle que : Naiss, nom de jeune fille (Njf), née. Dans environ 50 % des cas, il existait un code barre sous la forme d’un IPP ou d’un IPS.
Conclusion |
Nos résultats, avec seulement 22 % des étiquettes patients conformes à notre étiquette idéale, montrent tout le travail qu’il reste à faire. Une solution temporaire, qui peut exister dans certains établissements en attendant que les services informatiques inscrivent nommément les items, est de faire produire par la direction des ES un guide d’identification de leur étiquette, permettant ainsi de vérifier sa conformité.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Identitovigilance, Label patient, Establishments of health, Blood transfusion, Blood products
Mots clés : Identitovigilance, Étiquette patient, Transfusion sanguine, Établissement de santé, Produits sanguins
Plan
Vol 22 - N° 2
P. 59-61 - juin 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?
