Chirurgie de la grossesse extra-utérine - 22/02/17

[41-530] - Doi : 10.1016/S2211-0666(16)52953-3

C. Chauffour ^⁎ : Chef de clinique assistant, B. Rabischong : Professeur des Universités, praticien hospitalier, J.-L. Pouly : Professeur des Universités, praticien hospitalier, R. Botchorischvili : Professeur des universités, praticien hospitalier, N. Bourdel : Praticien hospitalier, S. Curinier : Praticien hospitalier, C. Houlle : Praticien hospitalier, A.G. Kaemmerlen : Praticien hospitalier, M. Canis : Professeur des Universités, praticien hospitalier
Service de gynécologie obstétrique, Centre hospitalier universitaire Estaing, place Lucie-Aubrac, 63000 Clermont-Ferrand, France

Auteur correspondant.

Article à jour au 25/04/2023

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Resumen

La grossesse extra-utérine représente 2 % des grossesses. Le diagnostic est posé sur un faisceau d'arguments cliniques, biologiques et échographiques. La plupart d'entre elles peuvent relever d'un traitement chirurgical. Lorsqu'une indication de traitement chirurgical est posée, la voie cœlioscopique est à ce jour le gold standard. Le traitement cœliochirurgical peut être conservateur ou radical. Au-delà de son efficacité immédiate, l'enjeu du traitement chirurgical est la fertilité ultérieure. À ce titre, un traitement cœlioscopique conservateur devrait être privilégié si l'indication le permet.

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Mots-clés : Grossesse extra-utérine, Salpingectomie, Salpingotomie, Cœlioscopie, Fertilité