Modèles animaux de l’otite moyenne aiguë – une mise au point avec des implications pratiques pour la recherche en laboratoire - 16/04/18
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder
Résumé |
Un nombre considérable d’études animales s’est concentré sur le développement de nouvelles stratégies pour la prévention et le traitement de l’otite moyenne aiguë (OMA). Plusieurs modèles expérimentaux de l’OMA ont ainsi été développés. L’analyse de la littérature publiée dans la base de données PubMed, sur la période allant de 1975 à juillet 2016, en utilisant les mots clés « animal model » et « otitis media », notait 91 études et 123 modèles animaux. Le rat, la souris et le chincilla étaient les animaux les plus fréquemment utilisés pour les modèles expérimentaux d’OMA, avec leurs avantages et leurs désavantages propres. Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae et Moraxella catarrhalis, Streptococcus pneumoniae (types 3, 23 et 6A) et Haemophilus influenzae non typable (HINT) étaient les pathogènes les plus couramment utilisés pour induire des OMA chez les rats et les souris. L’ajout de pathogènes viraux tels que le VRS et le virus Influenza A, couplé à l’induction de dysfonctionnements au niveau des trompes d’Eustache, peut aussi être utile dans les modèles animaux de l’OMA. La prophylaxie antibiotique peut également interférer avec la réponse immunitaire sans réduire de manière significative la mortalité animale.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Oreille moyenne, Modèle animal, Otite moyenne
Plan
☆ | Ne pas utiliser pour citation la référence française de cet article mais celle de l’article original paru dans European Annals of Otorhinolaryngology Head and Neck Diseases en utilisant le DOI ci-dessus. |
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à cette revue ?