Social support and the consequences of heart failure compared with other cardiac diseases: The contribution of support received within an attachment relationship - 17/09/15
Summary |
Background |
Interpersonal support is protective in heart disease, but sources of support and the quality of support may change over time, especially with aging and disease progression.
Aims |
To determine if support received within an attachment relationship with a spouse is more protective than other types.
Methods |
Subjects were sex- and age-matched cardiac outpatients with (n=40) or without (n=43) heart failure; they were studied with an observer-rated measure of attachment and self-report measures of other variables.
Results |
Having heart failure was associated with more depressive symptoms and illness intrusiveness. Although perceived social support did not differ in people with or without heart failure, those with heart failure had a spouse as the primary source of attachment functions less frequently than those without heart failure (50% vs 79%; P=0.006). Not having a spouse as the main provider of attachment functions was a partial mediator of the relationship between disease type (heart failure or no heart failure) and depressive symptoms (β=–0.24, t=–2.2; P=0.03) and deficits in non-attachment support made a further independent contribution (β=–0.24, t=–2.4; P=0.02). Neither perceived social support nor having a spouse serving attachment needs made a significant contribution to illness intrusiveness.
Conclusion |
Having someone other than a spouse to provide attachment support is more common in cardiac patients who have heart failure and is associated with an increased risk of depressive symptoms.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Contexte |
Le soutien interpersonnel est un facteur de protection dans les maladies cardiaques. Néanmoins, les sources et la qualité du soutien peuvent changer progressivement, particulièrement avec le vieillissement et la progression de la maladie.
Objectif |
Déterminer si le soutien d’un conjoint représente un facteur de protection plus élevé que le soutien d’un non-conjoint.
Méthodes |
Les patients cardiaques non hospitalisés furent choisis selon leur sexe et leur âge, ainsi que l’existence (n=40) ou l’absence (n=43) d’insuffisance cardiaque. L’attachement fut évalué par des observateurs indépendants. Les autres variables furent obtenues via auto-évaluation.
Résultats |
La présence d’insuffisance cardiaque était associée à plus de symptômes dépressifs et à une augmentation du caractère intrusif de la maladie. Le soutien social perçu n’a fait aucune distinction vis-à-vis l’insuffisance cardiaque, cependant ceux souffrant d’insuffisance cardiaque avaient moins souvent un conjoint comme la principale source de fonctions d’attachement (50 %) que ceux sans insuffisance cardiaque (79 % ; p=0,006). L’absence d’un conjoint à titre de principal fournisseur de fonctions d’attachement était un facteur médiateur partiel entre le type de maladie (présence ou absence d’insuffisance cardiaque) et les symptômes dépressifs (β=–0,24, t=–2,2 ; p=0,03). Le manquement au soutient non attachement apportait aussi une contribution indépendante (β=–0,24, t=–2,4 ; p=0,02). Ni le soutien social perçu, ni la présence d’un conjoint répondant aux besoins d’attachement n’apportaient une contribution significative au caractère intrusif de la maladie.
Conclusion |
Les patients cardiaques ayant une personne autre qu’un conjoint leur fournissant du soutient d’attachement ont plus souvent une insuffisance cardiaque et ont un risque plus accru de symptômes dépressifs.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Social support, Attachment relationship, Heart failure, Depressive symptoms, Illness intrusiveness
Mots clés : Soutien social, Relation d’attachement, Insuffisance cardiaque, Symptômes dépressifs, Intrusion de la maladie
Abbreviations : AAP, MOS-SSS
Plan
Vol 108 - N° 8-9
P. 437-445 - août 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.