Une hyperthermie maligne difficile à diagnostiquer - 18/03/16
Doi : 10.1016/j.anrea.2015.07.619
Sami Ben Miled 1, Dominique Villate 2, Philippe Marchand 2, Roxana Donisanu 1, Sébastien Ponsonnard 1, ⁎ 
, Nathalie Nathan 1, 3
, Nathalie Nathan 1, 3 1 CHU de Limoges, hôpital Dupuytren, service d’anesthésie-réanimation, 2, avenue Martin-Luther-King, 87042 Limoges, France
2 Centre hospitalier de Saint-Junien, service d’anesthésie-réanimation, 87200 Saint-Junien, France
3 Université de Limoges, faculté de médecine, 87000 Limoges, France
⁎Sébastien Ponsonnard, CHU de Limoges, hôpital Dupuytren, service d’anesthésie-réanimation, 2, avenue Martin-Luther-King, 87042 Limoges, France.
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Mots clés : Hyperthermie maligne, Desflurane, Test de contracture in vitro
Keywords : Malignant hyperthermia, Desflurane, In vitro contracture test
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© 2015
Société française d’anesthésie et de réanimation (Sfar). Publié par Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Vol 2 - N° 2
P. 135-137 - mars 2016 Retour au numéro
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