Formation des internes et jeunes assistants de gynécologie-obstétrique en statique pelvienne en France - 15/10/16
Urogynecology pelvic organ prolapse French surgical training during and after residency
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder
Résumé |
Objectifs |
Pour le traitement des prolapsus, la voie vaginale qui est moins standardisée que la cœlioscopie semble abandonnée par les plus jeunes médecins. Nos objectifs étaient d’évaluer l’expérience chirurgicale des internes et jeunes assistants de gynécologie-obstétrique en pelvi-périnéologie ainsi que le niveau de confiance et de maîtrise des différents traitements chirurgicaux des prolapsus pelviens par ces jeunes médecins.
Méthodes |
Un questionnaire anonyme envoyé via une plateforme Internet interrogeant les internes et jeunes assistants de gynécologie-obstétrique des promotions 2005 à 2010 en France sur leur formation chirurgicale en pelvi-périnéologie.
Résultats |
Vingt-neuf pour cent (208/724) des personnes contactées ont répondu, avec deux tiers d’interne et un tiers de jeune assistant, toutes les régions de France étaient représentées. Soixante-quatre pour cent des répondants voulaient privilégier une carrière chirurgicale. La promontofixation par cœlioscopie était déclarée être la méthode la mieux maîtrisée alors que les internes et jeunes assistants déclaraient avoir été plus souvent opérateur principal dans les techniques de voie vaginale pendant leur formation médicale.
Conclusion |
La pratique chirurgicale pendant la formation des internes et jeunes assistants ne semble pas associée au niveau de maîtrise déclarée d’une technique. Les techniques de formation différentes de la pratique chirurgicale clinique comme la simulation, l’apprentissage sur cadavres, la visualisation de film peuvent améliorer également le niveau de confiance et de maîtrise des jeunes médecins pour les techniques chirurgicales.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Abstract |
Objectives |
For the treatment of prolapse, the vaginal route is less standardized than laparoscopy and seems abandoned by younger doctors. Our objectives were to evaluate the surgical experience of resident and youth gynecology and obstetrics assistants in pelviperineology and the level of confidence and mastery of the different surgical treatment of pelvic.
Methods |
An anonymous questionnaire sent via an Internet platform interviewing residents and young assistants of gynecology and obstetrics (promotion 2005 to 2010) in France on their surgical training in pelviperineology.
Results |
Twenty-nine percent (208/724) of the persons contacted responded with two thirds of residents and one third of young assistants, all regions of France were represented. Sixty-four percent of respondents wanted to favor a surgical career. The laparoscopic sacrocolpopexy was declared to be the best method mastered while residents and young assistants reported being more often leading operator in vaginal techniques during their medical training.
Conclusion |
Surgical practice during medical training of resident and young assistants did not seem associated with declared mastery level of technique. Different clinical surgical practice training techniques such as simulation, cadaveric study, movies on surgical technics may also improve the level of confidence and mastery of young doctors for surgical techniques.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Prolapsus urogénital, Formation chirurgicale, Pelvi-périnéologie
Keywords : Urogenital prolapse, Surgical education, Pelviperineology
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