Physiopathologie de l’entraînement à la marche chez l’artériopathe - 10/04/17
Résumé |
L’artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI) touche 200 millions de personnes dans le monde. Parmi les patients souffrant d’AOMI, 45 % souffrent de douleurs d’effort. Les patients présentent alors une limitation de la capacité de marche et une diminution de la qualité de vie.
L’AOMI engendre des modifications physiopathologiques avec des altérations fonctionnelles aiguës et chroniques. Des modifications hémodynamiques sont retrouvées mais aussi des modifications biomécaniques associées à une inflammation et des phénomènes d’ischémie-reperfusion. Le réentraînement qui est recommandé par de nombreuses sociétés savantes a des effets bénéfiques à la fois locaux mais aussi généraux. Le réentraînement permet en particulier d’améliorer la fonction endothéliale, de réduire l’inflammation, d’améliorer le métabolisme musculaire et l’hémorhéologie.
La compréhension de la physiopathologie est un élément déterminant pour une prescription adéquate du réentraînement et faciliter son acceptation auprès des patients.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Artériopathie, Exercice, Capacité de marche, Qualité de vie
Plan
Vol 42 - N° 2
P. 61 - mars 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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