Anticoagulants et manifestations dermatologiques - 10/04/17
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Résumé |
Les anticoagulants font partie intégrante de notre pratique clinique. Que ce soit dans la maladie thromboembolique veineuse, la fibrillation auriculaire ou la maladie coronarienne, ils restent le moyen thérapeutique le plus performant en traitement curatif, mais aussi en préventions primaire et secondaire en diminuant la morbi-mortalité liée à ces pathologies. Les antivitamines K, les antiagrégants plaquettaires, les héparines non fractionnées et de bas poids moléculaires sont responsables d’effets secondaires dermatologiques. Nous aborderons trois types de manifestations dermatologiques particulièrement redoutables : les nécroses cutanées, les hématomes disséquants et des manifestations dermatologiques moins classiques comme le pyoderma gangrenosum, l’angiodermite nécrosante ou les calcinoses sous-cutanées. Les mécanismes de survenue de ces effets secondaires sont de type immuno-allergique, pro-coagulant surtout chez des patients atteints d’anomalie du bilan de thrombophilie ou constitutionnelle chez les patients porteurs de dermatoporose. Le défi à venir est la prise en charge des effets secondaires dermatologiques des nouveaux anticoagulants oraux qui sont eux encore méconnus.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Anticoagulant, Hématomes disséquants, Pyoderma gangrenosum, Angiodermite nécrosante, Calcinoses sous-cutanées, Dermatoporose
Plan
Vol 42 - N° 2
P. 75-76 - mars 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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