L’IRM a-t-elle un intérêt dans le suivi des spondylodiscites infectieuses à pyogènes ? - 01/08/17
Doi : 10.1016/j.lpm.2017.03.020
Michael Benhamou 1, Adrien Lemaignen 2, ⁎ 
, Idir Ghout 3, Aymeric Saint-Hilaire 1, Aurélien Dinh 4, Jean-Philippe Cottier 1, Louis Bernard 2
, Idir Ghout 3, Aymeric Saint-Hilaire 1, Aurélien Dinh 4, Jean-Philippe Cottier 1, Louis Bernard 2 1 CHRU de Tours, hôpital Bretonneau, service de neuro-radiologie diagnostique et interventionnelle, 37044 Tours cedex 9, France
2 CHRU de Tours, hôpital Bretonneau, service de médecine interne et maladies infectieuses, 37044 Tous cedex 9, France
3 Assistance publique–Hôpitaux de Paris (AP–HP), hôpital Ambroise-Paré, unité de recherche clinique, 92100 Boulogne-Billancourt, France
4 Assistance publique–Hôpitaux de Paris (AP–HP), hôpital Raymond-Poincaré, service de maladies infectieuses et tropicales, 92380 Garches, France
⁎Adrien Lemaignen, Hôpital Bretonneau, service de médecine interne et maladies infectieuses, 2, boulevard Tonnellé, 37044 Tours cedex 9, France.
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Vol 46 - N° 5
P. 468-471 - mai 2017 Retour au numéro
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