Management of bleeding peptic ulcer in France: a national inquiry - 06/10/17
Association Nationale des Hépatogastroentérologues des Hôpitaux Généraux
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Summary |
Aims of the study |
To evaluate and compare management practices in France for bleeding peptic ulcers using a national inquiry of university and non-university hospitals.
Method |
Responses to questionnaires sent to 812 gastroenterologists, 496 practicing in non-university hospitals and 316 in university hospitals, were compared.
Results |
An analysis was possible in 279 (34% response rate) of the questionnaires. Forrest classification was used more frequently in university hospitals (83% vs 60%, P < 0.01). Endoscopic hemostatic therapy was used more frequently in university hospitals for Forrest Ib (92% vs 81%, P = 0.02), IIa (93% vs 73%, P < 0.001), and IIb (58% vs 29%, P < 0.001) ulcers. Injection therapy, mainly epinephrine, was the first-intention treatment for 99% of the responding gastroenterologists. Proportions of clinicians employing hemoclips (27%) or argon plasma coagulation (21%) were similar in both types of practice. Anti-secretory treatment included mainly omeprazole (82%), given intravenously (76%), sometimes as bolus iv doses followed by iv high-dose continuous infusion (15%) with some variations according to the type of hospital. In the event of recurrent or persistent bleeding, surgery was more frequent in non-university hospitals. When rebleeding occurred, a second endoscopic treatment was performed in about one quarter of patients.
Conclusion |
In France, management practices for bleeding peptic ulcer vary between university and non-university hospitals.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
But |
Évaluer et comparer par une enquête déclarative de pratique la prise en charge des hémorragies ulcéreuses dans les hôpitaux généraux et universitaires français.
Méthode |
Les réponses de 496 hépato-gastroentérologues exerçant en hôpital général et de 316 exerçant en hôpital universitaire ont été comparées.
Résultats |
Deux cent soixante dix-neuf questionnaires étaient analysables (34 %). La classification de Forrest était plus utilisée en hôpital universitaire (83 % vs 60 %, P < 0,01). L’hémostase endoscopique était plus souvent pratiquée en hôpital universitaire en cas d’ulcères Forrest I b (92 % vs 81 %, P = 0,02), II a (93 % vs 73 %, P < 0,001) et II b (58 % vs 29 %, P < 0,001). Les injections, avant tout d’adrénaline, étaient la première modalité thérapeutique dans 99 % des cas. L’utilisation des clips (27 %) et de la coagulation au plasma argon (21 %) était comparable dans les 2 types de structure. Le traitement antisécrétoire était le plus souvent de l’oméprazole (82 %), principalement par voie intraveineuse (76 %) et parfois selon le schéma bolus-perfusion continue (15 %) mais avec des modalités différentes d’utilisation selon les centres. En cas d’hémorragie persistante ou récidivante, un traitement chirurgical était plus souvent réalisé dans les hôpitaux généraux. En cas de récidive hémorragique un nouveau traitement endoscopique était proposé environ une fois sur 4.
Conclusion |
La prise en charge des hémorragies ulcéreuses en France est différente en hôpital général et en hôpital universitaire.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Abbreviations : BPU, SFED
Plan
Vol 29 - N° 2
P. 140-144 - mars 2005 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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