Coeur et sport - 01/01/02
Ancien médecin fédéral national de la Fédération française de Tennis, 12, rue de la Pompe, 75116 Paris France
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Résumé |
Des activités physiques régulières sont bénéfiques pour le coeur et la sédentarité constitue un facteur de risque autonome. Le syndrome du coeur d'athlète traduit des adaptations physiologiques à un entraînement de haut niveau. Les stigmates électrocardiographiques et/ou échographiques peuvent être pris à tort pour ceux d'une cardiopathie ischémique ou hypertrophique. Le sport ne tue pas : les morts subites sportives sont secondaires à une affection sous-jacente, connue ou non (cardiomyopathie hyperthrophique : une fois sur deux chez le jeune, cardiopathie ischémique : neuf fois sur dix au-delà de 35-40 ans). Le médecin du sport doit connaître les indications à un test d'effort, la classification des sports (26e conférence de Bethesda, sports à risque de la nomenclature française) ainsi que les recommandations propres à chaque cardiopathie.
Mots-clés : coeur d'athlète, infarctus myocardique, mort subite, test d'effort, classification des sports, Bethesda (26e conférence), cardiopathies, dopage
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