Cas cliniques : pathologie vasculaire iatrogène - 19/03/18
Résumé |
Primum non nocere ! Et si les effets indésirables de nos médicaments et les aléas de nos procédures ne sont pas toujours évitables, il est important d’être au fait de leur prise en charge diagnostique et thérapeutique pour en limiter autant que faire se peut les conséquences.
L’objectif de cette séance est d’illustrer certaines de ces complications vasculaires iatrogènes dans le but de nous aider à les reconnaître et à les traiter efficacement.
Ce thème sera approfondi à l’aide de cas cliniques posant des problèmes de décisions pratiques. Un questionnement utilisant le système Powervote® permettra de confronter les opinions des experts et de l’auditoire, pour optimiser l’interactivité des discussions.
– Un mélanome difficile à traiter : Sophie Blaise (Grenoble)
– Veines ou lymphatiques, qui a raison, qui a tort : Stéphane Vignes et Gilbert Franco (Paris)
– De Charybde en Scylla – L’imprévu après une ponction artérielle : Gudrun Böge (Montpellier)
– Une sclérothérapie à rebondissements : Claudine Hamel-Desnos (Caen)
– Des pieds froids mais qui brûlent : Patrick Carpentier (Grenoble)
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Complications vasculaires iatrogènes, Prise en charge
Plan
Vol 43 - N° 2
P. 105 - mars 2018 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à cette revue ?