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Place des AOD dans l’artériopathie périphérique - 19/03/18

Doi : 10.1016/j.jdmv.2017.12.028 
C. Le Hello
 Département de médecine vasculaire et thérapeutique, université Jean-Monnet, CHU Nord, campus santé et innovations, 42270 St-Priest-en Jarez, France 

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Résumé

Le traitement médical de la maladie athéromateuse repose sur l’activité physique, la correction des facteurs de risque vasculaire et les médicaments, et notamment les antiplaquettaires. Le traitement antithrombotique permettant de diminuer l’incidence des évènements cardiovasculaires et la mortalité sans trop augmenter le risque hémorragique reste à définir. En partant de leurs propriétés fondamentales, les AOD ont été testés en pathologie coronaire puis périphérique. L’étude COMPASS PAD a montré, dans l’artériopathie stable, une diminution significative de l’incidence des évènements cardiovasculaires majeurs dans le groupe des patients traités par l’association aspirine 100mg/j et rivaroxaban 2,5mg×2/j en comparaison de ceux traités par aspirine seule. En corollaire, le risque hémorragique était majoré dans le groupe traité par l’association aspirine rivaroxaban sans augmentation du nombre des hémorragies fatales. D’autres études testant les AOD sont en cours et notamment dans l’artériopathie revascularisée. Ces données encourageantes nous laissent percevoir que le traitement antithrombotique de l’artériopathie va changer dans un futur plus ou moins proche.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Mots clés : Anticoagulant oral direct (AOD), Artériopathie périphérique


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Vol 43 - N° 2

P. 84-85 - mars 2018 Retour au numéro
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