Effects of strength training on bioenergetics parameters determined at velocity corresponding to maximal oxygen uptake in endurance runners - 13/11/18
Effets de l’entraînement en force sur les paramètres bioénergétiques déterminés à la vitesse correspondant à l’absorption maximale d’oxygène chez les coureurs d’endurance
Summary |
Objectives |
The present study analyzes the impact of a strength training program on bioenergetics parameters determined at velocity corresponding to maximal oxygen uptake ( ).
Methods |
Sixteen recreational long-distance runners were divided into strength training (STG, n=9) and control (CG, n=7) groups. Before and after 8 weeks, the volunteers performed: maximal incremental treadmill test, constant-speed running at pre-training , and maximum dynamic strength test (1RM). Energy cost of running (ECr), and aerobic (AMET) and anaerobic (ANMET) metabolism contributions were estimated at .
Results |
No differences were observed at baseline between groups (P>0.05). After experimental period, there was an increase in 1RM for STG (27±18%, P=0.008), but not for CG (P>0.05). The changes in ECr (pre=0.254±0.038 vs. post=0.255±0.037kJ·m−1), AMET (pre=191.5±26.2 vs. post=193.0±31.7kJ), and ANMET (pre=20.9±6.4 vs. post=21.0±5.7kJ) were not significant different (P>0.05) to STG; as well as to CG (ECr - pre=0.260±0.046 vs. post=0.259±0.034kJ·m−1, AMET - pre=209.7±30.2 vs. post=203.3±26.6kJ, and ANMET - pre=19.3±6.4 vs. post=23.9±4.6kJ).
Conclusions |
These findings suggest that 8 weeks strength training improved the maximum dynamic strength and did not alter bioenergetics parameters measured at in recreational endurance runners.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
La présente étude analyse l’impact d’un programme d’entraînement en force sur paramètres bioénergétiques du jogging déterminés à la vitesse correspondant à l’absorption maximale d’oxygène ( ).
Méthodes |
Seize coureurs récréatifs à longue distance ont été divisés en groupes musculaires (STG, n=9) et de contrôle (CG, n=7). Avant et après 8 semaines, les bénévoles ont effectué : un test de tapis roulant d’augmentation maximal, un jogging à vitesse constante à pré-entraînement et un test de résistance dynamique maximum (1RM). Le coût énergétique de faire du jogging (ECr) et les contributions au métabolisme aérobie (AMET) et anaérobie (ANMET) ont été estimés à .
Résultats |
Aucune différence n’a été observée à la base entre les groupes (p>0,05). Après la période expérimentale, il y a eu une augmentation de 1RM pour STG (27±18 %, p=0,008), mais pas pour CG (p>0,05). Les changements dans ECr (pré=0,254±0,038 vs post=0,255±0,037kJ·m−1), AMET (pré=191,5±26,2 vs post=193,0±31,7kJ) et ANMET (pré=20,9±6,4 vs post=21,0±5,7kJ) n’étaient pas significatifs (p>0,05) à STG ; ainsi que CG (ECr - pre=0,260±0,046 vs post=0,259±0,034kJ·m−1, AMET - pré=209,7±30,2 vs post=203,3±26,6kJ, et ANMET - pré=19,3±6,4 vs poste=23,9±4,6kJ).
Conclusions |
Ces résultats suggèrent que l’entraînement en force de 8 semaines a amélioré la force dynamique maximale et n’a pas modifié les paramètres de bioénergie mesurés à dans les coureurs d’endurance récréative.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Maximum dynamic strength, Oxygen deficit, Anaerobic metabolism, Aerobic metabolism
Mots clés : Force dynamique maximale, Déficit en oxygène, Métabolisme anaérobie, Métabolisme aérobie
Plan
Vol 33 - N° 6
P. e263-e270 - décembre 2018 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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