Bioethics and biosocial criminology: Hurdling the status quo - 21/12/18
Bioéthique et criminologie biosociale : surmonter le statu quo
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Biosocial criminology is one of the fastest growing lines of research within the field of criminology. Much of the findings suggest that genetic risks are involved in antisocial behavior including criminal behavior with the environment and genes working in a synergistic manner. According to researchers in the field, the continued accumulation of biosocial criminological data and the development of biosocial theories are imperative to the advancement of this perspective. Recently some have argued that biosocial research can move the field of criminology from an exclusively environmental approach to one that emphasizes prevention and addresses crime as a public health problem. However, there is considerable opposition and controversy in mainstream criminology circles to the biosocial approach because it involves, among other things, genotyping offenders for genetic risks to elucidate the etiology of antisocial behavior. Using a recent example from our biosocial research in Poland, we will consider the ethical dimensions of conducting such research on human subjects and explore whether recent findings in biosocial criminology can be integrated into current approaches to crime prevention with minimal harm to subjects.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
La criminologie biosociale est l’une des voies de recherche qui croît le plus rapidement dans le domaine de la criminologie. Une grande partie des résultats suggèrent que les risques génétiques sont un facteur dans les comportements antisociaux, y compris les comportements criminels, l’environnement et les gènes travaillant de manière synergique. Selon les chercheurs sur le terrain, l’accumulation continue de données criminologiques biosociales et le développement de théories biosociales sont indispensables à l’avancement de cette perspective. Récemment, certains ont soutenu que la recherche biosociale pourrait transformer le domaine de la criminologie d’une approche exclusivement environnementale à une approche qui met l’accent sur la prévention et qui s’attaque au crime en tant que problème de santé publique. Cependant, il existe une opposition et une controverse considérable parmi les groupes dominants en ce qui concerne l’approche biosociale, car elle implique, entre autres, le génotypage des délinquants à la recherche de risques génétiques pour élucider l’étiologie des comportements antisociaux. En utilisant un exemple récent de notre recherche biosociale en Pologne, nous examinerons les dimensions éthiques de telles recherches sur des sujets humains et explorerons la possibilité d’intégrer les découvertes récentes en criminologie biosociale aux approches actuelles de la prévention du crime avec le moins de tort possible aux sujets.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Biosocial criminology, Crime prevention, Genetics, Research methods
Mots clés : Criminologie biosociale, Prévention du crime, Génétique, Méthodes de recherche
Plan
Vol 7
P. 95-102 - octobre 2018 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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