An improved understanding of individuals’ ability to self-regulate through barriers in the management of their weight-loss behaviors is important. Although self-regulation related to exercise might carry-over to increased eating-related self-regulation through the development of such skills, it also might be depleted because self-regulation is thought to be a limited resource. Additionally, mood might affect self-regulation change.

This field study aimed to determine if exercise-related self-regulation was associated with subsequent eating-related self-regulation, how treatment foci affected that relationship, and if mood change concurrently influenced self-regulation.

An educational weight-loss treatment (n=52) and a behaviorally based self-regulatory-focused treatment (n=57) was administered to women with obesity via a community health-promotion setting. Baseline – Month 3 changes in their exercise self-regulation and overall negative mood, and Months 3–6 change in eating self-regulation, were assessed.

Improvements were significantly greater in the self-regulation treatment group on exercise self-regulation, eating self-regulation, and mood. For the self-regulation group, there was a significant positive relationship between changes in exercise self-regulation and eating self-regulation, β=0.27, p=0.044. Conversely, the association of those variables was significant and inverse in the educational group, β=−0.29, p=0.039. Reduction in negative mood was significantly related to increased exercise self-regulation, across groups, β=−0.32, p=0.001.

When self-regulation was focused upon and rehearsed within an exercise context, its changes positively affected subsequent changes in eating self-regulation. However, when self-regulation was not targeted, self-regulation used for maintaining exercise depleted eating-focused self-regulation. Findings contributed to self-regulatory theory and had implications for the improvement of behavioral weight-loss treatments.

Une meilleure compréhension de la capacité de l’individu à s’autoréguler par des obstacles dans la maîtrise de leur amaigrissement est importante. Bien que l’autorégulation reliée à l’exercice puisse être en rapport avec une augmentation de l’alimentation autorégulée par le développement de telles compétences, cela peut aussi être diminué parce qu’une autorégulation est considérée comme une ressource limitée. De plus, l’humeur peut aussi affecter un changement d’autorégulation.

Cette étude de terrain avait pour but de déterminer : (1) si l’autorégulation de l’exercice était associée à l’autorégulation ultérieure de l’alimentation ; (2) comment le traitement foci a affecté ce rapport ; et si (3) le changement d’humeur affecte simultanément l’autorégulation.

Les changements dans l’autorégulation de leur exercice et de la mauvaise humeur générale ont été évalués entre 0 et 3mois, et les changements de l’autorégulation de l’alimentation ont été évalués entre 3 et 6mois.

Les améliorations d’autorégulation de l’exercice, d’autorégulation de l’alimentation et de l’humeur étaient significativement plus grandes dans le groupe traitement. Pour le groupe d’autorégulation, il y a eu une relation positive significative entre les changements de l’autorégulation de l’exercice et de l’autorégulation de l’alimentation. β=−0,27, p=0,044. À l’inverse, l’association de ses variables était significative et inversée dans le groupe pédagogique, β=−0,29, p=0,039. À travers les groupes, la réduction d’une humeur négative était significativement reliée avec une augmentation de l’autorégulation de l’exercice, β=−0,32, p=0,001.

Cependant, quand l’autorégulation n’était pas ciblée, l’utilisation de l’autorégulation pour maintenir l’exercice a diminué l’autorégulation centrée sur l’alimentation. Les conclusions ont contribué à la théorie d’autorégulation et ont eu des implications sur l’amélioration de la modification du comportement lors de traitements de perte de poids.