Schisandrins impact on the efficiency of human body: A review - 25/03/20
Effets physiologiques des schisandrines : revue de la littérature
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder
Summary |
News |
Schisandrins are a group of chemical components, contained in Schisandra chinensis, determined as lignans. They involve: schisandrin A, B, C and schisandrol A. Those substances, which are well-known in traditional Chinese medicine, are hepatoprotective, anti-inflammatory, antioxidative and antineoplastic. Furthermore, there is a wide array of trials and analyses performed on animal models, which makes us presume that after running trials on a human model, schisandrins will be used as sport supplements. Those components stimulate skeletal muscles hypertrophy; there is a proved impact on soleus and gastrocnemius muscles, as well as the protective and regenerative role. Lignans decrease triglycerides and total cholesterol levels, leading to body mass reduction. They are also hypoglycemic, facilitate the transport and metabolism of glucose as GLUT-2 activators or adiponectin antagonists. They enhance the sensitivity to insulin, lowering the levels of interleukin 1, interleukin 2 and interleukin 6. The components have also nephroprotective activity in hyperglycemic states, arresting the progression of the disorder. Schisandrins influence the endocrine system, decreasing cortisol level and slightly increasing testosterone level.
Conclusion |
In our review we juxtapose the trials, emphasizing the schisandrins impact on the efficiency of human body. Effects of use of schisandrins are very promising, however, there is still not enough of good evidences to use these substances without any doubts. There are also reports of interactions with CYP3A4 or induction of hypertriglyceridemia.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Actualités |
Les schisandrines sont un groupe de composés chimiques contenus dans Schisandra chinensis, classifiés parmi les lignanes. Elles comprennent: la schisandrine A, la B, C et le schisandrol A. On attribue à ces substances bien connues en médecine traditionnelle chinoise des propriétés hépatoprotectrices, anti-inflammatoires, anti-oxydantes et antinéoplasiques. De plus, il existe un large éventail d’essais et d’analyses réalisés sur des modèles animaux, portant à penser qu’après avoir effectué des essais sur un modèle humain, les schisandrines seront utilisées comme compléments sportifs. Ces composés stimulent l’hypertrophie des muscles squelettiques, avec un effet objectivé sur les muscles soléaires et gastrocnémiens, et un rôle protecteur et régénérateur. Les lignanes diminuent les triglycérides et le cholestérol total, et entraînent une réduction de la masse corporelle. Ils sont également hypoglycémiants, facilitent le transport et le métabolisme du glucose en tant qu’activateurs de GLUT-2 ou antagonistes de l’adiponectine. Ils augmentent la sensibilité à l’insuline en abaissant les niveaux d’interleukine 1, d’interleukine 2 et d’interleukine 6. Ces composés ont également une activité néphroprotectrice dans le diabète expérimental, arrêtant la progression de la néphropathie. Les schisandrines influencent le système endocrinien en diminuant la cortisolémie et en augmentant légèrement la testostérone.
Conclusions |
Dans cette revue de la littérature, nous synthétisons les recherches effectuées en soulignant l’impact des schisandrines sur l’adaptation de l’organisme à l’activité physique. On décrit aussi des interactions avec CYP3A4 et la survenue d’hypertriglyceridemies. Les actions des schisandrines semblent donc prometteuses mais il n’y a pas encore assez de données pour encourager leur utilisation.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Schisandrins, Schisandra chinensis, Skeletal muscles, Fat tissue, Carbohydrates metabolism
Mots clés : Schisandrine, Schisandra chinensis, Muscle squelettique, Tissu adipeux, métabolisme des glucides
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à cette revue ?