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Utilisation d’une ancienne électrode de stimulation électrique comme référence dans la réimplantation cochléaire chez l’enfant - 08/05/20

Doi : 10.1016/j.aforl.2020.03.006 
Y. Xu, H.-B. Ren, L. Jiang, L.-Y. Liu, F.-G. Han, S.-F. Wang
 Department of Otorhinolaryngology, Children's Hospital Affiliated to Zhengzhou University, No 33, Eastern Outer-Loop of Dragon Lake, New district of Zhengdong, Zhengzhou, 450018 China 

Auteur correspondant.
Sous presse. Épreuves corrigées par l'auteur. Disponible en ligne depuis le Friday 08 May 2020
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder

Résumé

Objectifs

Explorer les causes de l’implantation cochléaire et l’utilisation d’une ancienne électrode de stimulation électrique lors de la réimplantation cochléaire chez l’enfant.

Méthodes

Les causes, les techniques chirurgicales et les difficultés rencontrées au cours de l’opération de réimplantation cochléaire de 24 patients au sein de l’hôpital pédiatrique de Henan entre juin 2016 et avril 2018 ont été analysées pour cette étude.

Résultats

Chez 23 patients, la chirurgie de réimplantation cochléaire s’est passée avec succès. Un patient a conservé approximativement 1/3 de l’extrémité antérieure de l’ancienne électrode cochléaire en raison d’une forte résistance lors du retrait des électrodes. Les causes des réimplantations furent : une défaillance de l’implant (onze patients), des valeurs d’impédance élevées pour toutes les électrodes après un traumatisme crânien (deux patients) et le prolapsus de l’implant avec l’électrode suite à un accident de la voie publique (un patient).

Conclusion

L’ancienne électrode peut être une source de référence importante dans la réduction des risques opératoires et la garantie du succès de la réimplantation.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Mots clés : Implantation cochléaire, Pédiatrie, Réimplantation, Ré-opération, Défaillance de l’équipement


Plan


 Ne pas utiliser pour citation la référence française de cet article mais celle de l’article original paru dans European Annals of Otorhinolaryngology Head and Neck Diseases en utilisant le DOI ci-dessus.


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