La dopamine à l’interface de la neurologie et de la psychiatrie : le modèle de la maladie de Parkinson - 29/05/20
Résumé |
La maladie de Parkinson, initialement décrite comme un trouble à prédominance neurologique, se situe en fait à l’interface de la psychiatrie et de la neurologie. Les travaux récents ont mis en exergue l’importance des troubles psychiatriques et cognitifs dans l’altération de la qualité de vie et le pronostic des patients. À travers les trois communications, ce symposium sera l’occasion de revenir sur les dernières avancées en matière de diagnostic et de traitement des symptômes psychiatriques de la maladie de Parkinson. Valérie Mesnage présentera les données révélant l’importance de la prise en compte des symptômes psychiatriques dans la prise en charge de la maladie de Parkinson. Renaud David présentera des données sur l’apathie à travers ses trois dimensions : comportementale, émotionnelle et cognitive. Les nouvelles classifications diagnostiques seront évoquées, ainsi que les innovations des thérapeutique dans le domaine de l’apathie, empruntant notamment au champ des nouvelles technologies. Enfin Lucie Hobeika dressera un aperçu des agonistes dopaminergiques et de leur place dans les stratégies thérapeutiques des symptômes moteurs. Elle évoquera également les risques psychiatriques à surveiller ainsi que leur potentielle utilisation dans certains états dépressifs.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Maladie de Parkinson, Agonistes dopaminergiques, Dépression, Apathie
Plan
Vol 1 - N° S2
P. S52 - décembre 2019 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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