Corrélé à l’âge, à l’estradiolémie et au nombre de follicules antraux, le dosage plasmatique de la FSH reste indispensable à l’évaluation de la réserve folliculaire ovarienne, même si le taux de FSH à J3 n’est plus, et de loin, le meilleur critère d’insuffisance ovarienne.

Il ne faut pas oublier de répéter les dosages, d’interpréter ces dosages en fonction de l’estradiolémie, et il ne faut pas non plus négliger l’âge de la patiente.

Son intérêt est certain, mais relatif chez les femmes jeunes, car il n’est pas prédictif des taux de grossesse ou d’implantation.

Dans les cas limites, on privilégiera le compte des follicules antraux et le dosage de l’AMH plasmatique.

FSH concentrations obtained early in the follicular phase is a good predictive factor of ovarian response for assisted reproductive treatment. Nevertheless, FSH levels should be correlated with estradiol levels, antral follicle count and patient age.

A history of elevated basal FSH levels in patients under the age of 40 years predicts a lower oocyte yield in IVF cycles but does not translate to either lower pregnancy or implantation rates.

In women with uncertain ovarian function, antral follicle count and serum antimullerian hormone/mullerian-inhibiting substance appear to be more discriminatory markers of assisted reproductive technology outcome.