Pathophysiology, diagnosis, and treatment of membranous nephropathy - 26/04/21

Doi : 10.1016/j.nephro.2021.03.001 
Jens Lutz
 Medical Clinic, Nephrology–Infectious Diseases, Central Rhine hospital group, Gemeinschaftsklinikum Mittelrhein, Koblenzer Straße 115-155, 56073 Koblenz, Germany 

Abstract

Nephrotic syndrome is in adult patients mainly due to membranous nephropathy (MN) characterized by thickening of the glomerular basement membrane (GBM) and immune complex formation between podocytes and the GBM. Autoantibodies directed against the M-type phospholipase A2 receptor (PLA2R) and thrombospondin 1 domain-containing 7 A (THSD7A) can be used as diagnostic biomarkers. THSD7A seems to be of direct pathogenic significance as is suggested by experimental models and plasmapheresis in humans. Recently, further antigens like NELL-1 (neural tissue encoding protein with EGF-like repeats-1), exostosin 1 and 2 have been discovered. Thus, MN should be classified into antibody positive and antibody negative MN. More specific immunosuppressive treatments directed against B-cells and antibody production like rituximab have been introduced in addition to already existing immunosuppressive protocols including steroids, chlorambucil, cyclophosphamide, and calcineurin inhibitors. Antibody removal using immunoadsorption or plasmapheresis leads to short-term reduction in proteinuria and might be indicated only in patients with very severe proteinuria and complications. Studies are needed to identify a more specific immunosuppression directed against the production and effects of autoantibodies in order to protect the kidneys from autoimmune mediated tissue damage and to identify patients who require an immunosuppressive treatment, as the remission rate is high in patients with MN.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Keywords : Chronic kidney disease, Epitope spreading, Ig subclasses, THSD7A, PLA2R, Rituximab


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