Effect of additive-assisted fat transplantation on fat graft survival rate: A preliminary experimental study based on a rabbit animal model - 07/05/21
Étude expérimentale préliminaire sur l’effet de la transplantation de graisse assistée par des additifs sur la survie des greffes de graisse
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Summary |
Background |
Improving the survival rate of fat grafts is yet a difficult problem in the field of autologous fat transplantation. Prevailing methods such as making nanofat and SVF are time-consuming. Hence, the role of additives application in the improvement of fat graft survival during fat transplantation was considered and preliminarily evaluated in a rabbit animal model.
Methods |
A rabbit animal model was established where rabbit ears were injected with a mixture of 1.5mL of adipose tissue and 1mL of saline (group A), 1.5mL of adipose tissue and 1mL of botulinum toxin A (BoNTA) (group B), 1.5mL of adipose tissue and 1mL of prostaglandin E2 (groupC), 1.5mL of adipose tissue and 1mL of PDRN (group D) respectively. Then, the extents of neovascularization and inflammation were evaluated on the 7th, 14th, 28th, 42nd, 56th and 70th day after injection by ELISA assays and H&E and immunofluorescence staining.
Results |
The results showed that pre-treatment with BoNTA, prostaglandin E2 and PDRN improved graft volume and weight. The H&E and immunofluorescence staining revealed that BoNTA, prostaglandin E2 and PDRN improved the graft angiogenesis. Simultaneously, TNF-α expression level detected by ELISA was the lowest in the PDRN group.
Conclusion |
Henceforth, the present preliminary study suggests that pre-transplantation treatment with BoNTA, prostaglandin E2 and PDRN can improve the fat graft angiogenesis and graft integrity, whereby the effect of adding PDRN may be significant.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Contexte |
L’amélioration du taux de survie de la transplantation de graisse autologue est un problème difficile dans le domaine de la transplantation de graisse autologue. Les méthodes actuelles de préparation des nano-graisses et des SVF prennent beaucoup de temps. Par conséquent, le rôle de l’application des additifs dans l’amélioration du taux de survie de la transplantation de graisse a été examiné et évalué dans un modèle animal de transplantation de graisse de lapin.
Méthodes |
Un modèle animal de lapin a été établi par injection sous-cutanée de 1,5mL de tissu adipeux et de 1mL de solution saline normale (groupe A), de 1,5mL de tissu adipeux et de 1mL de toxine botulique A (groupe B), de 1,5mL de tissu adipeux et de 1mL de prostaglandine E2 (groupeC), groupe D tissu adipeux 1,5 ML, PDRN 1mL. La néovascularisation et l’inflammation ont été détectées par ELISA, HE immunofluorescence les jours 7, 14, 28, 42, 56 et 70 après l’injection.
Résultats |
Les résultats expérimentaux ont démontré que le volume et le poids du greffon augmentaient significativement après le prétraitement avec le BoNta, la prostaglandine E2 et le PDRN. La coloration H & E et l’immunofluorescence ont montré que le BoNta, la prostaglandine E2 et le PDRN favorisaient l’angiogenèse des greffes. Entre temps, le niveau d’expression du TNF-α était le plus faible dans le groupe PDRN détecté par ELISA.
Conclusion |
Des études préliminaires ont montré que l’application de BoNta, de prostaglandine E2 et de PDRN avant la transplantation peut améliorer l’angiogenèse et l’intégrité du greffon de graisse, et l’effet de l’ajout de PDRN peut être significatif.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Adipose graft angiogenesis, Fat grafting, Fat survival, BoNTA, Botulinum, Prostaglandin, PDRN
Mots clés : Angiogenèse des greffes de graisse, Transplantation de graisse, Survie des graisses, BoNta, Toxine botulique, Prostaglandines, PDRN
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