To examine the effect of total repetitions per set on local muscular endurance (LME) assessed via maximal repetitions to concentric muscular failure using loads based on a percentage of pre-intervention one-repetition maximum (%1RM_PRE) and post-intervention 1RM (%1RM_POST).

Four electronic databases were searched using terms related to LME and resistance training. Studies were deemed eligible for inclusion if they met a strict criteria. Random effects (Hedges’ g) meta-analyses were undertaken to estimate the effect of lower versus higher repetitions on LME assessed via two methods. Possible predictors that may have influenced training-related effects were explored using univariate analyses. Fourteen studies were included in this review. There was a large effect in favour of a higher number of repetitions per set for LME assessed by %1RM_POST (g=0.97, P<0.001, 95% CI 0.53 to 1.40), but no difference when assessed by %1RM_PRE (g=0.09, P=0.49, 95% CI −0.17 to 0.35). A sub-analysis revealed a large effect in favour of high repetitions (median range of 18–125) compared to moderate repetitions (median range of 7–13) for LME assessed by %1RM_POST (g=1.08, P<0.001, 95% CI=0.60 to 1.56). “Changes in strength” moderated the lower versus higher repetition effects on LME assessed by %1RM_POST (P=0.002).

Resistance training with a higher number of repetitions (≥15) is more effective than lower repetitions for enhancing LME when assessed using a given percentage of post-intervention 1RM but not pre-intervention 1RM.

Examiner l’effet du nombre total de répétitions par série sur l’endurance musculaire locale (LME) évaluée via les répétitions maximales jusqu’à l’échec musculaire concentrique en utilisant des charges basées sur un pourcentage de maximum d’une répétition pré-intervention (%1RMPRE) et post-intervention 1RM (%1RMPOST).

Quatre bases de données électroniques ont été recherchées à l’aide de termes liés à la LME et à l’entraînement en résistance. Les études étaient considérées comme éligibles pour l’inclusion si elles répondaient à des critères stricts. Des méta-analyses des effets aléatoires (Hedges’ g) ont été entreprises pour estimer l’effet de répétitions inférieures ou supérieures sur la LME évaluée par deux méthodes. Les prédicteurs possibles qui peuvent avoir influencé les effets liés à l’entraînement ont été explorés à l’aide d’analyses univariées. Quatorze études ont été incluses dans cette revue. Il y avait un grand effet en faveur d’un nombre plus élevé de répétitions par série pour LME évalué par %1RMPOST (g=0,97, p<0,001, IC à 95 % 0,53 à 1,40), mais aucune différence lorsqu’elle est évaluée par %1RMPRE (g=0,09, p=0,49, IC à 95 % −0,17 à 0,35). Une sous-analyse a révélé un effet important en faveur des répétitions élevées (plage médiane de 18 à 125) par rapport aux répétitions modérées (plage médiane de 7 à 13) pour le LME évalué par %1RMPOST (g=1,08, p<0,001, 95 % CI=0,60 to 1,56). Les « changements de force » ont modéré les effets de répétition inférieurs ou supérieurs sur le LME évalués par %1RMPOST (p=0,002).

L’entraînement en résistance avec un nombre de répétitions plus élevé (≥15) est plus efficace que des répétitions plus faibles pour améliorer le LME lorsqu’il est évalué en utilisant un pourcentage donné de 1RM post-intervention, mais pas de 1RM pré-intervention.