Cure for severe depression in elderly patients with psychotic symptoms should consider not only the results of major depression but also the nature of antidepressants and their side effects. Psychiatric disability is higher in patients who have greater deterioration in neurological function.

In addition to reviewing antidepressant discontinuation syndrome and depressive disorder, this study describes an elderly woman with mild depression that developed into major depression, related to high suspicion of delirium, diagnosed based on patient history, physical health examination, neurological examinations, family history, and laboratory data, with subsequent treatment plan.

The treatment results and prognosis indicate that patients with paroxetine antidepressant deactivation may enable early use of low-dose quetiapine with less anticholinergic and extrapyramidal side effects for the treatment of depression in elderly patients with psychotic symptoms. The poor prognostic factors for patients were chronic environmental stress (poverty) and lack of a social support system. Although the patient lived with her children and grandchildren, she rarely received care. Hence, it was not possible to monitor her condition and medication intake.

The consensus is that the abrupt discontinuation of short half-life selective serotonin reuptake inhibitors (SSRIs), such as paroxetine can be associated with transient symptomatology, much of which is of a serotonergic nature. Psychotic-like symptoms have also been reported in both controlled trials and large patient databases.

Le traitement de la dépression grave chez les patients âgés présentant des symptômes psychotiques doit tenir compte non seulement des résultats de la dépression majeure, mais aussi de la nature des antidépresseurs et de leurs effets secondaires. Le handicap psychiatrique est plus important chez les patients dont la fonction neurologique atteint un niveau de détérioration plus élevé.

En plus d’examiner le syndrome d’arrêt des antidépresseurs et le trouble dépressif, cette étude décrit une femme âgée souffrant de dépression légère qui s’est transformée en dépression majeure, liée à une forte suspicion de délire, diagnostiquée sur la base des antécédents du patient, de l’examen de santé physique, des examens neurologiques, des antécédents familiaux et des données de laboratoire, avec un plan de traitement ultérieur.

Les résultats du traitement et le pronostic indiquent que les patients avec une désactivation de l’antidépresseur paroxétine peuvent permettre une utilisation précoce de la quétiapine à faible dose avec moins d’effets secondaires anticholinergiques et extrapyramidaux pour le traitement de la dépression chez les patients âgés présentant des symptômes psychotiques. Les facteurs de mauvais pronostic pour les patients étaient le stress environnemental chronique (pauvreté) et l’absence de système de soutien social. Bien que la patiente ait vécu avec ses enfants et petits-enfants, elle ne recevait que rarement des soins. Il n’était donc pas possible de surveiller son état et sa prise de médicaments.

Il y a un consensus sur le fait que l’arrêt brutal des inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) à courte demi-vie, tels que la paroxétine, peut être associé à une symptomatologie transitoire, dont une grande partie est de nature sérotoninergique. Des symptômes de type psychotique ont également été signalés dans des essais contrôlés et dans de grandes bases de données de patients.