The menstrual cycle does not influence vertical jump performance or throwing velocity in amateur team handball players - 15/03/23
Le cycle menstruel n’influence pas les performances de saut vertical ou la vitesse de tir chez les joueuses de handball amateurs
Summary |
Objectives |
This study aimed to compare physical performance (countermovement jump height and throwing velocity) and psychological traits (mood state and perceived pain) across the menstrual cycle.
Equipment and methods |
Eight women from an amateur handball team (age=19.8±1.9 years) were tested during two months at three time points of the menstrual cycle (early follicular phase, late follicular phase, and mid-luteal phase) (i.e., six testing sessions). The calendar-based and the urinary luteinizing hormone methods were used in combination to detect the phase of the menstrual cycle. Two questionnaires were administered at the beginning of each testing session to assess the mood state (Self-Assessment Manikin scale for Valence) and perceived pain (Visual Analogic Scale Pain scale) and, afterwards, the countermovement jump height and throwing velocity were evaluated.
Results |
The main results showed no significant differences between the phases of the menstrual cycle for countermovement jump height (P=0.708), throwing velocity (P=0.305), Self-Assessment Manikin scale for Valence (P=0.639) or Visual Analogic Scale Pain scale (P=0.565).
Conclusions |
These results suggest that the performance of explosive lower-body and upper-body tasks is not affected across the menstrual cycle in young athletes whose mood and perceived pain are also unaffected by these hormonal fluctuations.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectifs |
Cette étude visait à comparer les performances physiques (hauteur de saut de contre-mouvement et vitesse de projection) et les traits psychologiques (état d’humeur et douleur perçue) au cours du cycle menstruel.
Matériel et méthodes |
Huit femmes d’une équipe de handball amateur (âge=19,8±1,9 ans) ont été testées pendant deux mois en trois moments différents du cycle menstruel (phase folliculaire précoce, phase folliculaire tardive et phase lutéale moyenne) (c’est-à-dire six séances de test). Les méthodes basées sur le calendrier et l’hormone lutéinisante urinaire ont été utilisées pour caractériser la phase du cycle menstruel. Deux questionnaires ont été administrés au début de chaque session de test afin d’évaluer l’état des émotions (échelle SAM, self-assessment Manikin) et la douleur perçue (échelle visuelle analogique de la douleur) et, par la suite, la hauteur de saut de contre-mouvement et la vitesse de tir ont été évaluées.
Résultats |
Les principaux résultats n’ont pas montré de différence significative entre les mesures de performance au cours du saut de contre-mouvement (p=0,708), de vitesse de tir (p=0,305), des valeurs de l’échelle de SAM (p=0,639) ou de l’échelle visuelle analogique de douleur (p=0,565) au cours des différentes phases du cycle menstruel. Ces résultats suggèrent que les performances au cours de tâches explosives du bas du corps et du haut du corps n’est pas affectée par le cycle menstruel chez les jeunes athlètes dont l’humeur et la douleur perçue ne sont pas non plus affectées par les fluctuations hormonales contemporaines du cycle menstruel.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Emotional state, Female athlete, Ovarian hormones, Perceived pain, Sport performance
Mots clés : État émotionnel, Athlète féminine, Hormones ovariennes, Douleur perçue, Performance sportive
Plan
Vol 38 - N° 2
P. 211-215 - mars 2023 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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