Place de la chirurgie reconstructrice chez l’artériopathe - 23/02/24
Résumé |
La chirurgie plastique et réparatrice s’est essentiellement développée dans la prise en charge des pertes de substance. Elle fait appel à différentes techniques allant des plus simples (greffe de peau) jusqu’aux plus complexes (lambeau).
Toutes ces techniques font cependant appel à un réseau que l’on espère de qualité ; la tâche est rendue plus complexe dans le cadre des patients présentant une pathologie vasculaire.
Face à ça le chirurgien doit composer avec ce déficit de vascularisation qui rend sa tâche plus ardue. Et il a dû développer des techniques prenant en compte cette situation ; bien que la situation rende la prise en charge plus complexe, elle n’est pas impossible. Ainsi le traitement des plaies par traitement par pression négative au préalable ou l’utilisation de nouveaux lambeaux (lambeau perforant) dont la vascularisation reste étrangement fiable y compris chez ces patients a permis de développer cette prise en charge particulière). Aussi, le patient vasculaire doit bénéficier d’une spécificité, mais ne doit pas amener à un refus de prise en charge.
Nous illustrerons ces particularités à travers des exemples qui montrent que, même si le taux de complications est plus important, le chirurgien plasticien a sa place dans la prise en charge des plaies du patient vasculaire.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Perte de substance, Lambeau performant
Plan
Vol 49 - N° 1
P. 5 - mars 2024 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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