Les concepteurs de matériels robotique et bio-informatique, tous autant qu’ils soient, ont vocation à améliorer les procédés des laboratoires, en combinant gain de temps, efficacité, fiabilité, reproductibilité, etc. Se positionnant résolument comme « offreurs de solutions », les équipements qu’ils proposent sont de plus en plus complets, intégrés, globaux. Et c’est peut-être justement là que le bât blesse : les solutions étant tellement intégrées, n’auraient-elles pas tendance à se « doublonner » ? Entre fournisseurs d’automates et plateformes analytiques qui flirtent de plus en plus avec l’informatique, et fournisseurs de SGL – systèmes de gestion de laboratoires – qui étendent de plus en plus intelligemment leur offre, le biologiste a du mal à se retrouver dans la jungle des « solutions globales » d’analyses. \nÉtat des lieux et quelques clés.

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Vol 2005 - N° 0356

P. 9-13 - juin 2004 Retour au numéro

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